Le Dernier Monde
Céline Minard
Denoël, 2007
Bon, ça démarre ainsi :
enfin, presque.
Jaume Roiq Stevens refuse de quitter sa station orbitale et se retrouve seul dans l'espace, observant la Terre.
Ensuite?
"Allo, Houston?"
Aucune réponse.
Il revient sur Terre, découvre qu'il n'y a plusun chat un être humain. C'est l'ambiance Demain les chiens
Enfin, plus exactement, les cochons.
Durant les 100 premières pages, je jubile, je ronge mes ongles, je rigole, je flippe à mort.
"Désemparé, ça veut dire : plus emparé? Qu'on était emparé et qu'on ne l'est plus? Mais qu'est-ce qui s'est emparé de moi pour me laisser tout d'un coup brutalement si désemparé? Sans remparts. Déparé, sans bijoux. Dépris?"
J'aime bien l'écriture, en plus.
Comme l'on comprend très vite que Jaume est le dernier homme, pour dynamiser la narration, apparaissent des dialogues entre Jaume, Miss Echampson, Lincoln Lawson, sa peur, Waterfull, sa tristesse, sa mémoire. Il écrit son journal.
Page 200 (sur 514) au moment du voyage des cochons dans le Transmongolien, je lâche prise. Trop long. Pas envie de continuer le voyage sur une Terre sans hommes. L'impression que j'ai compris, pas la peine d'en ajouter. Un regard sur les dernières pages. Oui, bon. L'impression d'avoir lu le plus génial et de pouvoir en rester là?
De Céline Minard j'ai adoré So long, Luise et Faillir être flingué , je ne lâche pas, j'en ai un autre prévu!
noosfere n'a pas aimé du tout... Mes Imaginaires non plus...
Céline Minard
Denoël, 2007
Bon, ça démarre ainsi :
Jaume Roiq Stevens refuse de quitter sa station orbitale et se retrouve seul dans l'espace, observant la Terre.
Ensuite?
"Allo, Houston?"
Aucune réponse.
Il revient sur Terre, découvre qu'il n'y a plus
Enfin, plus exactement, les cochons.
Durant les 100 premières pages, je jubile, je ronge mes ongles, je rigole, je flippe à mort.
"Désemparé, ça veut dire : plus emparé? Qu'on était emparé et qu'on ne l'est plus? Mais qu'est-ce qui s'est emparé de moi pour me laisser tout d'un coup brutalement si désemparé? Sans remparts. Déparé, sans bijoux. Dépris?"
J'aime bien l'écriture, en plus.
Comme l'on comprend très vite que Jaume est le dernier homme, pour dynamiser la narration, apparaissent des dialogues entre Jaume, Miss Echampson, Lincoln Lawson, sa peur, Waterfull, sa tristesse, sa mémoire. Il écrit son journal.
Page 200 (sur 514) au moment du voyage des cochons dans le Transmongolien, je lâche prise. Trop long. Pas envie de continuer le voyage sur une Terre sans hommes. L'impression que j'ai compris, pas la peine d'en ajouter. Un regard sur les dernières pages. Oui, bon. L'impression d'avoir lu le plus génial et de pouvoir en rester là?
De Céline Minard j'ai adoré So long, Luise et Faillir être flingué , je ne lâche pas, j'en ai un autre prévu!
noosfere n'a pas aimé du tout... Mes Imaginaires non plus...
Commentaires
Me reste R., à la bibli.
Je vois que ce Dernier Monde est voué à l'abandon total... ^_^
So long Luise m'a beaucoup plu aussi.
Bilan : 2,4 sur 3 , finalement pas si mal...
Pas grave : en SF, j'ai déjà pas mal d'envies ;) !
merci
Je ne l'ai pas lu non plus, mais je risque de flipper pas mal, rien que dans Le dernier monde ça m'a fait monter l'adrénaline...
Je considère Demain les chiens comme un classique (que je n'ai pas lu) mais comme c'est un classique on ne sait pas dès le début de quoi ça parle, non? ^_^ Quant à Wilson, va quand même falloir que je l'emprunte à la bibli, il m'attend...