Buvard
Julia Kerninon
la brune au rouergue, 2014
"Elle m'avait lancé un regard qui disait ce qu'aucun de nous ne dirait parce qu'on le savait trop bien tous les deux -que ceux qui connaissaient ce dont elle parlait n'étaient pas souvent en mesure de lire. Ses parents, les miens, les gens qu'on avait connus, enfants, à l'école, sur le terrain de basket, les voisins, les Lang, quel que soit le nom qu'ils portaient, tous autant qu'ils étaient, ouvraient plus souvent une boîte de chili qu'un livre -parce que les bouquins, c'était pour les tafioles, et aussi pour un tas d'autres raisons qu’elle avait rendues limpides dans ses livres sans jamais pouvoir en assourdir la tendresse."
Après avoir dévoré tous ses romans, Lou a réussi à convaincre la célèbre Caroline N. Spacek de lui accorder une interview, et finalement il passera tout un été dans la villa anglaise de l'écrivain, connue depuis une vingtaine d'années pour la violence des thèmes de ses premières nouvelles et romans jusqu'aux poèmes. Son oeuvre et sa vie, que l'on découvrira en même temps que Lou, sont forcément liées.
Julia Kerninon, 27 ans, serait-elle le double littéraire de Caroline N. Spacek en ce qui concerne le talent? J'avoue que j'ai été absolument emportée dans cette lecture, les pages tournaient toutes seules (ou presque) les phrases filaient sous les yeux, au fil des révélations savamment distillées. Une grande histoire d'amour, une grande histoire d'écrivain aussi. Ceux qui me connaissent savent mon peu d'atomes crochus avec les romans français contemporains, mais quand je suis bluffée et fascinée, je le dis!
Quelques passages pour le plaisir
"Je t'en veux encore. Je te veux encore."
"Je commençais à comprendre qu'il fallait maîtriser toutes les techniques pour écrire de bons livres -être résistant, avoir l'oreille, maîtriser l'onomastique, la focale, les références, connaître les mots précis, les mots qui feraient que les phrases continueraient à faire du bruit dans la tête plusieurs heures après leur lecture, savoir les verbes qui sont des os dans une phrase - et tout oublier et écrire. Les peintres semblaient savoir ça d'instinct, que ce qu'ils avaient à faire impérativement c'était atteindre une maîtrise irréprochable, et puis tout oublier. La vraie peinture commençait à cemoment-là. J'apprenais comment on peut changer toute la perspective d'un texte avec un simple détail, comme la merveilleuse couronne de roses que Picasso avait ajoutée sur un coup de tête au Garçon à la pipe."
"Tu peux m'explique ça, toi : quand ils écrivent sur la boîte [de nourriture pour chat] que c'est 'nouveau et avec un goût amélioré', qui l'a testé pour se prononcer?"
Les avis de clara, cuné, yueyin, laeti,
Julia Kerninon
la brune au rouergue, 2014
"Elle m'avait lancé un regard qui disait ce qu'aucun de nous ne dirait parce qu'on le savait trop bien tous les deux -que ceux qui connaissaient ce dont elle parlait n'étaient pas souvent en mesure de lire. Ses parents, les miens, les gens qu'on avait connus, enfants, à l'école, sur le terrain de basket, les voisins, les Lang, quel que soit le nom qu'ils portaient, tous autant qu'ils étaient, ouvraient plus souvent une boîte de chili qu'un livre -parce que les bouquins, c'était pour les tafioles, et aussi pour un tas d'autres raisons qu’elle avait rendues limpides dans ses livres sans jamais pouvoir en assourdir la tendresse."
Après avoir dévoré tous ses romans, Lou a réussi à convaincre la célèbre Caroline N. Spacek de lui accorder une interview, et finalement il passera tout un été dans la villa anglaise de l'écrivain, connue depuis une vingtaine d'années pour la violence des thèmes de ses premières nouvelles et romans jusqu'aux poèmes. Son oeuvre et sa vie, que l'on découvrira en même temps que Lou, sont forcément liées.
Julia Kerninon, 27 ans, serait-elle le double littéraire de Caroline N. Spacek en ce qui concerne le talent? J'avoue que j'ai été absolument emportée dans cette lecture, les pages tournaient toutes seules (ou presque) les phrases filaient sous les yeux, au fil des révélations savamment distillées. Une grande histoire d'amour, une grande histoire d'écrivain aussi. Ceux qui me connaissent savent mon peu d'atomes crochus avec les romans français contemporains, mais quand je suis bluffée et fascinée, je le dis!
Quelques passages pour le plaisir
"Je t'en veux encore. Je te veux encore."
"Je commençais à comprendre qu'il fallait maîtriser toutes les techniques pour écrire de bons livres -être résistant, avoir l'oreille, maîtriser l'onomastique, la focale, les références, connaître les mots précis, les mots qui feraient que les phrases continueraient à faire du bruit dans la tête plusieurs heures après leur lecture, savoir les verbes qui sont des os dans une phrase - et tout oublier et écrire. Les peintres semblaient savoir ça d'instinct, que ce qu'ils avaient à faire impérativement c'était atteindre une maîtrise irréprochable, et puis tout oublier. La vraie peinture commençait à cemoment-là. J'apprenais comment on peut changer toute la perspective d'un texte avec un simple détail, comme la merveilleuse couronne de roses que Picasso avait ajoutée sur un coup de tête au Garçon à la pipe."
"Tu peux m'explique ça, toi : quand ils écrivent sur la boîte [de nourriture pour chat] que c'est 'nouveau et avec un goût amélioré', qui l'a testé pour se prononcer?"
Les avis de clara, cuné, yueyin, laeti,
si toi aussi tu t'y mets... ! :)
RépondreSupprimerPas fait exprès! ^_^ Pour une fois qu'un roman français passe la rampe...
Supprimerje ne suis pas tout à fait ok avec vos commentaires,l auteur apprement vole des phrases a des auteurs et ne les cite pas,ce qui laisse à desirer tout de même,ne croyez vous pas? les ecrivains volent souvent la vie des gens,mais de là a ecrire sans guillemets des phrases pensées par d autres...c est un peu trop facile et puis cet arrivisme m a gaché toute crédibilité.Arnold
SupprimerL'auteur (Kerninon) aurait utilisé dans son roman sans guillemets des citations d'autres auteurs : j'ai bien compris votre commentaire, c'est ça? J'avoue n'avoir rien remarqué, il faudrait des exemples. Tant qu'on ne me balance pas 'longtemps je me suis couché de bonne heure', je ne vois rien. ^_^
SupprimerJe ne vois pas très bien de quoi vous parlez, Arnold. La seule citation sans auteur est un fragment d'Emily Dickinson caché en clin d'œil aux lecteurs qui reconnaîtront - mais je ne crois pas qu'il y en ait d'autres, à part celles des écrivains-personnages du livre, dont j'ai inventé les citations. De quoi parlez-vous? Julia Kerninon
SupprimerJe suis flattée d'accueillir l'auteur ici même. Vous aurez aisément compris que j'ai aimé votre roman et que je suis bien en peine de répondre à Arnold. Merci de votre intervention!
SupprimerMoi non plus je ne comprends rien au commentaire d'Arnold !!! Si même l'auteure s'en étonne il faut peut-être juste y voir la bile d'un jaloux devant les qualités d'un si bon livre. Virginie.
SupprimerBonjour Virginie,
SupprimerMa foi, comme je ne comprends pas vraiment non plus... Je suivrai le parcours de l'auteur dans un prochain roman!
Je l'ai déjà noté, chez Cuné je crois. Il me reste à espérer qu'il arrivera à la bibliothèque.
RépondreSupprimerC'est là que je l'ai trouvé.
SupprimerMoui, j'y viendrai certainement...
RépondreSupprimerQuel enthousiasme! ^_^ L'auteur va devoir se faire pardonner, je sais.
Supprimerah ah tout pareil, bluffée je suis :-)
RépondreSupprimerN'est-ce pas?
SupprimerPourquoi pas ? Tu es convaincante ! (une fois de plus !)
RépondreSupprimerNous ne sommes pas seules.
SupprimerAh oui, tu es sacrément convaincante !
RépondreSupprimerC'est assez rare que je sois soufflée par un contemporain (la dernière fois, je crois que c'était Ferrari)
SupprimerEn plein dedans... Qu'est ce que c'est bien !
RépondreSupprimerOuh... alors tu vas bientôt l'avoir terminé!
SupprimerIl me faisait de l'oeil ce samedi dans ma librairie préférée.
RépondreSupprimerHé oui (même si je l'ai trouvé en bibli, très vite, chic!)
SupprimerTiens, à mon tour ne ne pas réussir à envoyer de commentaire sur ton blog ;-)
RépondreSupprimerCe titre me tentait déjà beaucoup et tu enfonces le clou :-)
Il arrive que blogger avale les commentaires, allez savoir...)
SupprimerTrès envie de le lire, je vais l'emprunter en médiathèque ;)
RépondreSupprimerToi aussi tu deviens raisonnable? ^_^
SupprimerOk puisque c'est chez le même éditeur qu'un certain Piazza ! En plus, tu en parles tellement bien ( une envie de fayoter aujourd'hui...le soleil qui brille sans doute)
RépondreSupprimerJustement, il n'y a pas de hasard, cet éditeur est en force à ma bibli pour quelques mois...
SupprimerPiazza, c'est bientôt, prépare toi!
Ouh, quand tu aimes, tu sais te montrer convaincante !
RépondreSupprimerBen oui, quoi!
SupprimerJe veux absolument le lire ! Moi qui aime tant les histoires d'écrivains...
RépondreSupprimerC'est soufflant cette histoire...
SupprimerCuné était très convaincante et comme Julia Kerninon était au Salon du livre... tu devines la suite !
RépondreSupprimerJe me souviens des billets précédents, ça a joué, mais pas que, car j'ai l'habitude d'abandonner les romans français actuels...
SupprimerJe vais ajouter ma pierre à l'édifice des convaincu(e)s! Ça a l'air très bien. Mais pourquoi "Buvard", hein?
RépondreSupprimerLe buvard absorbe... Sans doute un lien avec l'écrivain qui a révélé Caroline N. Spacek au monde de l'écriture...
Supprimerta citation sur la nourriture pour chat m'a amusée mais je l'ai déjà lue souvent, trop souvent?
RépondreSupprimerpourtant ce titre m'attire malgré le titre que je ne comprends pas
Luocine
Pour le titre, voir ma réponse précédente.
SupprimerPour le chat, c'était inconnu pour moi, alors je suis bon public.
Juste pour dire que j'aime beaucoup ce tabeau de Picasso, sinon, le sujet du récit ne me tente pas des masses (mais je suis moi-même trop à la masse pour juger correctement :)
RépondreSupprimerJe ne connaissais pas ce tableau, je suis allée fouiner pour voir ce que c'était (souci du détail...)
SupprimerUn livre qui fait tache d'huile dans la blogo, on dirait. Comme les autres, il me tente !
RépondreSupprimerOn commence à le voir circuler, en effet. Tu l'auras en bibli comme moi, je l'espère!
Supprimertu donnes envie!
RépondreSupprimerGuette à la bibli!
SupprimerTrès très tentant ce livre!
RépondreSupprimerN'est ce pas?
Supprimertu vas finir par me convaincre de lire français, une vraie gageure
RépondreSupprimerAh bon tu es aussi rétive que moi aux auteurs français contemporains? Demain encore un, un de mes chouchous, que je suis bien seule à défendre, hélas.
Supprimerje suis très partagée sur ce livre, tous ces billets élogieux me font réfléchir, mais je trouve les extraits très ampoulés, c'est un peu ce qui me gène. Donc, je tergiverse....
RépondreSupprimerIl faudrait que tu testes. J'ai lu ce roman en deux fois (la vie existe en dehors de la lecture) et curieusement quand je l'ai repris j'ai été sensible à l'artificialité de quelques formules, genre "Je t'en veux encore. Je te veux encore.", qui d'habitude me font fuir quand un roman n'est fait pratiquement que de cela; mais ici, ce n'était que vraiment rare, donc je n'ai pas tiqué.
SupprimerOk ok !!! je retiens le titre... au cas où je le trouverais en bibliothèque... Il me semble que tu as l'air plus enthousiaste que dans ton précédent billet. Je me trompe ?
RépondreSupprimerLe précédent billet porte sur un roman qui m'a donné plus de malaise, c'est sans doute la cause. Ici je reste sur le plaisir de la découverte.
SupprimerOuh bah là, tu mets le paquet !^^ Bon, noté dans ma tête, plus la place sur ma LAL.;-)
RépondreSupprimerNe t'inquiète pas , j'ai aussi des listes intérieures pas écrites, ça fait tilt quand je vois le livre, sinon tant pis.
SupprimerDans ma PAL... J'espère qu'il me plaira autant qu'à toi, mais vu le sujet ça devrait ;0) J'ai pensé à toi cette après midi dans ma librairie, j'ai feuilleté Homesman et je me suis dit que ça serait tout à fait pour toi. Tu n'as pas prévu de le lire ? En tout cas moi je suis bien tentée ;0) Bisous, bon week end
RépondreSupprimerHum, j'ai aussi feuilleté Homesman en librairie, mais j'ai été sérieuse (juste acheté un poche avec Proust dans le titre, et un roman introuvable de mon chouchou Stegner). Je suis très très tentée, mais peut être le trouverai-je en bibli, cela arrive assez souvent avec Gallmeister!
SupprimerBon dimanche!
Cela fait quelques billets que ce roman me fait de l'oeil !
RépondreSupprimerLà aussi je pense qu'il devrait beaucoup te plaire.
SupprimerComme toi, j'ai été bluffée par ce roman alors qu'en général je n'aime pas les romans français contemporains (encore deux déceptions coup sur coup )
RépondreSupprimerAaaah les romans français contemporains... Nous sommes bien d'accord! Je sens que tu n'aimes pas l'auto fiction et ses dérivés (certains passent bien, mais faut que ça sorte du lot)(je pourrais faire une liste des romans que je n'ai pas lus)
Supprimerl auteur le dit elle même dans des entretiens,je suis interressée par cette boite d'édition car elle est reliée à acte sud,bon cela ,passons apres tout,mais surtout "j 'étais trop jeune pour être veuve" par exemple n est pas d elle ce qui n est pas si grave en soi,car la phrase n est pas non plus ditirambique,mais il se trouve que l on s apperçoit en fouillant un peu que beaucoup de phrases pour lesquelle elle est entendue ,comme par hasard ne sont pas d elle.Ce qui est tres troublant.Et surtout c est quand on fouille un peu qu elle le devoile sinon cela passe ,cela passerait sans que l on s en appercoive,et du coup on lui accorde une poesie mais qui est en fait "piquée"...vaste sujet..arnold
RépondreSupprimerMerci Arnold d'être revenu! Je n'ai pas le roman sous la main, et sans doute pas assez de références pour détecter des phrases empruntées... J'ai trouvé une vidéo où elle est interviewée, mais rien détecté.
SupprimerMa foi, il se trouvera bien quelqu'un pour être aussi vigilant que vous.
Pour ma part, happée par les pages, j'ai apprécié ma lecture; on verra ce que le temps en fera. C'était déjà beaucoup qu'un roman français contemporain me plaise! Nous sommes en train, à la bibliothèque, de découvrir 10 romans du Rouergue (oui, excellente maison!), et pour l'instant c'est un autre roman - pas parfait sans doute- qui me donne envie de rencontrer l'auteur et de le placer en premier.
Bluffée, fascinée... et comment on gère nos PAL avec de tels comms, nous, hein ?
RépondreSupprimerEn sachant qu'une journée suffit. Cela tombe bien, la semaine est annoncée pluvieuse.
Supprimermerci d avoir repondu keisha,je ne suis qu un pauvre professeur de mathématique lyonnais,j ai trouve gonflé cette citation non citée voilà tout et qui decridibilise l auteur ,à mon gout,car elle repond ici même en disant que c est un clin d oeil ce qui est la preuve d une reponse facile,qui est prit se defend mais qui n est pas prit laissera le doute.L intervention ici de l auteur confimre l arriviste que je sous entendais de cette lecture et dont je parlais l autre jour ici.Ceci dit malgre la colere cela ne m interresse pas vraiment ,merci à vous.arnold.
RépondreSupprimerJe suis aussi une pauvre professeur de mathématiques... ^_^
SupprimerIl va falloir quand même que j'essaie de retrouver cette citation, mais je ne connais pas vraiment Dickinson. Peut être la citation est-elle très connue et tombée quasiment dans le domaine public, comme le "couché de bonne heure" et autres?
oui c est possible comme "la dentelle je la porte"..surement ah vous êtes professeur de mathématique? formidable où? à paris?arnold
RépondreSupprimerNon, pas à Paris.
SupprimerAvez-vous un blog où vous parlez de vos lectures?
Keisha, tu es prof de maths ??? Toi aussi ? Décidément... (je te croyais prof d'anglais^^)... Ce n'est pas un reproche hein !!! ^-^ Je voulais ton avis sur ce livre (oui je sais j'ai du retard dans la lecture de certains billets et blogs, bouh) ! :( Je te rassure : je lis tes billets (le soir quand je reçois la News à pas d'heure) mais je ne viens pas toujours commenter, celui-ci m'avait échappé, shame !
RépondreSupprimerAprès cet aparté un peu long, et à la lecture des comms d'Arnold, j'ose espérer que le"buvard" qui absorbe ne plagie pas mais ça m'étonnerait un peu ! Je le lirais s'il me tombe sous la main ! Je suis allée en librairie samedi et je ne l'ai pas vu ! :( Et je n'ai pas de biblio... (proche du moins) !
Coucou ma belle! Oui, toi aussi? Je connais une autre blogueuse qui l'est, on se sent moins seul car ce sont plutôt l'anglais et le français qui sont représentés chez les blogueurs profs (mais pas que, d'ailleurs)
SupprimerBref, le blog prend du temps, ça c'est sûr, parfois j'ai du mal... Actuellement j'aimerais parler de mes sorties non bouquins, mais là il faut fignoler un billet...
Cela me semble étonnant que l'auteur ait trop utilisé le buvard (!) il faut espérer que des lecteurs vigilants sont passés avant chez Le Rouergue, une maison sérieuse je pense.
Vous devenez insultant, Arnold. Et vous vous trahissez tout seul en ne relevant pas : la citation sur la vie qui doit continuer alors qu'on a oublié pourquoi est en réalité d'Edna St Vincent Millay. Que vous n'ayez pas aimé mon livre ne me pose aucun problème (vous n'êtes ni le premier ni le dernier), en revanche il est hors de question que vous m'accusiez de plagiat à tort.
RépondreSupprimerJulia (je pense qu'il s'agit de vous), je suis vraiment désolée de ne rien pouvoir faire pour éclaircir la situation entre Arnold (que je ne connais absolument pas!) et vous. Je précise que je n'ai pas les coordonnées de qui que ce soit ici.
Supprimerbonjour oh non je n ai voulu blesser personne et surtout pas l auteur,je faisais la rele suite à des enensentendus et lus par ci par là et je lançais ce débat.Je n accuse personne et encore moins de plaggia ,je n ai fait que reporter ce que j ai entendu,je parts de ce blog ,bien à vous ,et bonnes lectures.arnold
RépondreSupprimerMerci d'être revenu éclaircir les choses, pas de souci de mon côté. Je n'ai absolument eu aucun écho de ce genre sur Buvard, mais à part les blogs je ne me documente pas trop sur mes lectures.
SupprimerBonnes lectures à vous.
la reflexion suite à des entretiens entendus ,je corrige.Arnold,bien à vous.Si je me trompe tant mieux!
RépondreSupprimerVoilà, je m'y suis retrouvée dans tous mes anonymes (dont je continue à ignorer les coordonnées, si cela peut vous rassurer)
SupprimerPas de souci de mon côté non plus. Julia Kerninon
RépondreSupprimerMerci! Un jour peut être je vous rencontrerai à un salon du livre, on ne sait jamais.
SupprimerOu peut-être dans le département, lors de la rencontre avec un auteur. C'est encore mieux.
RépondreSupprimerLaurence
Exact! Je n'y ai pas pensé sur le coup, mais c'est encore une meilleure idée.
Supprimer(je m'y perds dans tous ces anonymes, heureusement que je ne suis pas parano ^_^)