The year of the flood
Margaret Atwood
virago, 2009
C'est l'année de The Waterless Flood, l'inondation (le déluge?) sans eau, causé par l'homme qui a assez joué l'apprenti-sorcier sur cette planète... Catastrophes écologiques, tempêtes tropicales quotidiennes, montée des eaux, désertification, tout demeure en arrière plan, sans véritable explication. C'est là, c'est tout.
Deux femmes ont survécu : Ren, une danseuse de boîte de divertissement (où on peut trouver les sales filles les plus propres de la ville) et Toby, isolée sur la terrasse de l'immeuble où elle travaillait. Y a-t-il d'autres survivants? Des animaux errent tout autour, souvent fruits d'expériences génétiques, par exemple les rakunks (half skunk without the smell, half raccoon but without the agression)(déjà vous avez une idée des néologismes du texte...).
Ren et Toby se sont connues des années auparavant dans un groupe appelé The God's Gardeners, végétarien, construisant des Arches (comme Noé) en prévision d'un "déluge" éventuel, mais plutôt sous forme de réserves de nourriture. Leur vie indépendante de la technologie se révélera un moyen efficace de survie après la catastrophe. Le "gourou" se nomme Adam One, il y a d'autres Adams et Eves, numérotés, des fêtes, des saints, bref, Atwood fait preuve d'une belle imagination...
Ces Jardiniers ne sont pas isolés et sont confrontés à un monde où des privilégiés bénéficient d'un environnement protégé, alors que certains quartiers sont livrés aux bandes et à la violence. Des Corporations ont la main sur tout, aidées par le Corps SecurityCorps.
Tout au long de ce roman à la brillante construction, l'intérêt ne faiblit pas, les découvertes se suivent. J'ai découvert tardivement que certains personnages secondaires figuraient déjà dans un roman précédent, Oryx et Crake (qui l'a lu?), il semblerait que ses lecteurs voulaient en savoir plus!, et il semble bien aussi que The year of the flood aura une suite (argh, je déteste ça!)(je veux la connaître, moi!)
Bref, Atwood fait encore une fois une incursion dans le domaine de la dystopie, c'est efficace, brillant. A lire!
A ma connaissance ce roman n'est pas traduit en français, mais Oryx et Crake l'est.
Je signale qu'il existe un challenge lire en anglais chez bladelor mais que je ne le fais pas officiellement (déjà réussi en 2010)
Margaret Atwood
virago, 2009
C'est l'année de The Waterless Flood, l'inondation (le déluge?) sans eau, causé par l'homme qui a assez joué l'apprenti-sorcier sur cette planète... Catastrophes écologiques, tempêtes tropicales quotidiennes, montée des eaux, désertification, tout demeure en arrière plan, sans véritable explication. C'est là, c'est tout.
Deux femmes ont survécu : Ren, une danseuse de boîte de divertissement (où on peut trouver les sales filles les plus propres de la ville) et Toby, isolée sur la terrasse de l'immeuble où elle travaillait. Y a-t-il d'autres survivants? Des animaux errent tout autour, souvent fruits d'expériences génétiques, par exemple les rakunks (half skunk without the smell, half raccoon but without the agression)(déjà vous avez une idée des néologismes du texte...).
Ren et Toby se sont connues des années auparavant dans un groupe appelé The God's Gardeners, végétarien, construisant des Arches (comme Noé) en prévision d'un "déluge" éventuel, mais plutôt sous forme de réserves de nourriture. Leur vie indépendante de la technologie se révélera un moyen efficace de survie après la catastrophe. Le "gourou" se nomme Adam One, il y a d'autres Adams et Eves, numérotés, des fêtes, des saints, bref, Atwood fait preuve d'une belle imagination...
Ces Jardiniers ne sont pas isolés et sont confrontés à un monde où des privilégiés bénéficient d'un environnement protégé, alors que certains quartiers sont livrés aux bandes et à la violence. Des Corporations ont la main sur tout, aidées par le Corps SecurityCorps.
Tout au long de ce roman à la brillante construction, l'intérêt ne faiblit pas, les découvertes se suivent. J'ai découvert tardivement que certains personnages secondaires figuraient déjà dans un roman précédent, Oryx et Crake (qui l'a lu?), il semblerait que ses lecteurs voulaient en savoir plus!, et il semble bien aussi que The year of the flood aura une suite (argh, je déteste ça!)(je veux la connaître, moi!)
Bref, Atwood fait encore une fois une incursion dans le domaine de la dystopie, c'est efficace, brillant. A lire!
A ma connaissance ce roman n'est pas traduit en français, mais Oryx et Crake l'est.
Je signale qu'il existe un challenge lire en anglais chez bladelor mais que je ne le fais pas officiellement (déjà réussi en 2010)
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Sabbio
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