Une sale affaire
Una brutta faccenda
Marco Vichi
Philippe Rey, 2016
Traduit par Nathalie Bauer
En mars 2015 je faisais connaissance du commissaire Bordelli; un policier comme finalement on les aime, pas un super héros, un être humain privilégiant l'amitié fidèle avec des potes au passé chargé et prenant sous son aile Piras, le fils d'un camarade de combat.
On retrouve donc Rosa, l'ex prostituée masseuse et accueillante, Toto le cuisinier et Botta le cambrioleur.
"La prison, c'est terminé pour Botta... définitivement terminé.
- Tu comptes arrêter de crocheter les serrures?
- Non, commissaire, je veux arrêter de me faire pincer."
Fliquer les prostituées, les faussaires et les petits malandrins, c'est moyennement son truc, et dans ce volume, plus que dans le précédent, il va être servi. Le meurtre d'un petit délinquant parfois indic, s'étant trouvé au mauvais endroit au mauvais moment, et d'une fillette dans un parc, le mènent à d'épuisantes enquêtes : pas d'indices, pas de suspects, ses nuits traversées de rêves lourds. Une autre fillette est retrouvée morte, il doit stopper la série, mais comment? Ses recherches lui feront retrouver un de ses amis ("Il était plutôt petit, mais son regard valait vingt centimètres de hauteur") et côtoyer une organisation traquant les criminels de guerre nazis (nous sommes en 1964).
Une histoire peut-être plus sombre, même si Bordelli et Piras croiseront de jolies brunes, dans ce polar classique sans détails gore, sans courses poursuite (Bordelli conduit une vieille Coccinelle ), où l'on se sent finalement presque comme chez soi.
Les avis de Gwen,
Una brutta faccenda
Marco Vichi
Philippe Rey, 2016
Traduit par Nathalie Bauer
En mars 2015 je faisais connaissance du commissaire Bordelli; un policier comme finalement on les aime, pas un super héros, un être humain privilégiant l'amitié fidèle avec des potes au passé chargé et prenant sous son aile Piras, le fils d'un camarade de combat.
On retrouve donc Rosa, l'ex prostituée masseuse et accueillante, Toto le cuisinier et Botta le cambrioleur.
"La prison, c'est terminé pour Botta... définitivement terminé.
- Tu comptes arrêter de crocheter les serrures?
- Non, commissaire, je veux arrêter de me faire pincer."
Fliquer les prostituées, les faussaires et les petits malandrins, c'est moyennement son truc, et dans ce volume, plus que dans le précédent, il va être servi. Le meurtre d'un petit délinquant parfois indic, s'étant trouvé au mauvais endroit au mauvais moment, et d'une fillette dans un parc, le mènent à d'épuisantes enquêtes : pas d'indices, pas de suspects, ses nuits traversées de rêves lourds. Une autre fillette est retrouvée morte, il doit stopper la série, mais comment? Ses recherches lui feront retrouver un de ses amis ("Il était plutôt petit, mais son regard valait vingt centimètres de hauteur") et côtoyer une organisation traquant les criminels de guerre nazis (nous sommes en 1964).
Une histoire peut-être plus sombre, même si Bordelli et Piras croiseront de jolies brunes, dans ce polar classique sans détails gore, sans courses poursuite (Bordelli conduit une vieille Coccinelle ), où l'on se sent finalement presque comme chez soi.
Les avis de Gwen,
Commentaires
Mais on se sent vite chez soi avec un policier bien connu, vous avez raison ;-)
A ta bibli? mais c'est très bien! Tu verras, l’enquête à proprement parler n'est pas trépidante, mais il y a toute une ambiance autour. Dans le second, l'enquête prend plus le pas sur le reste.