Mille morceaux
James Frey
10/18, 2006
C'est le deuxième maillon de la chaîne des livres, choisi par Levraoueg
"Je sais ce que je suis et je sais ce que j'ai fait et je sais pourquoi je suis sur le point de mourir. Je suis Alcoolique et je suis Toxicomane et et je suis Délinquant."
A la suite d'un dernier "trou noir", James Frey est récupéré en piteux état et hospitalisé dans un centre de désintoxication. On suit de l'intérieur son chemin pour s'en sortir. Car il s'en sort à la fin, même s'il n'accepte pas de suivre la méthode conseillée par les responsables du centre (méthode suivie aux USA seulement ? Je ne sais pas).
Mais pour en arriver là, il faut supporter des passages très durs, remplis de sang, de vomi, de cris, de douleur, de rêves insupportables.
Vous aurez droit aussi à une séance chez le dentiste où on lui refait ses incisives, le tout sans anesthésie et sans analgésiques ensuite, puisqu'il est en cure de désintoxication.
Je préviens : ces 600 pages sont écrites sans complaisance, dans un style direct, haché, souvent grossier. Les expériences vécues par James et les autres malades du centre, dont Lilly son amie, ne sont pas édulcorées.
On ne ressort pas indemne de ce récit, j'ai du mal à en parler. J'ai tenu parce qu'il s'agissait d'un récit autobiographique et que ce témoignage m'intéressait. A ceux et celles qui prendront la suite, je dis de tenter cette lecture pas facile mais qui en vaut la peine.
L'avis d'Armande,
James Frey
10/18, 2006
C'est le deuxième maillon de la chaîne des livres, choisi par Levraoueg
"Je sais ce que je suis et je sais ce que j'ai fait et je sais pourquoi je suis sur le point de mourir. Je suis Alcoolique et je suis Toxicomane et et je suis Délinquant."
A la suite d'un dernier "trou noir", James Frey est récupéré en piteux état et hospitalisé dans un centre de désintoxication. On suit de l'intérieur son chemin pour s'en sortir. Car il s'en sort à la fin, même s'il n'accepte pas de suivre la méthode conseillée par les responsables du centre (méthode suivie aux USA seulement ? Je ne sais pas).
Mais pour en arriver là, il faut supporter des passages très durs, remplis de sang, de vomi, de cris, de douleur, de rêves insupportables.
Vous aurez droit aussi à une séance chez le dentiste où on lui refait ses incisives, le tout sans anesthésie et sans analgésiques ensuite, puisqu'il est en cure de désintoxication.
Je préviens : ces 600 pages sont écrites sans complaisance, dans un style direct, haché, souvent grossier. Les expériences vécues par James et les autres malades du centre, dont Lilly son amie, ne sont pas édulcorées.
On ne ressort pas indemne de ce récit, j'ai du mal à en parler. J'ai tenu parce qu'il s'agissait d'un récit autobiographique et que ce témoignage m'intéressait. A ceux et celles qui prendront la suite, je dis de tenter cette lecture pas facile mais qui en vaut la peine.
L'avis d'Armande,
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Leiloona
Il y a 4 ans
levraoueg
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chris89
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Neph
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A_girl_from_earth
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keisha
Il y a 4 ans
Géraldine
Il y a 4 ans
keisha
Il y a 4 ans
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