La lamentation du prépuce
Shalom Auslander
Poche 10/18, 2009
"Désacraliser le Shabbat, c'est comme violer les six cent treize commandements de la Torah" (Rabbi Blowfeld)
Le moins que l'on puisse dire, c'est que son éducation dans un milieu juif orthodoxe strict a laissé des traces dans le cerveau surchauffé et paranoïaque de Shalom Auslander, le héros du roman.
Comme il est maintenant marié et bientôt père, ses craintes quant à la grossesse et l'accouchement deviennent obsessionnelles, et, grande question, circoncision ou pas? Au long de grands discours adressés à un Dieu vu comme méchant et vengeur, il se rebelle, revient en arrière, promet, négocie, etc... C'est extrêmement fou et drôle, un peu pitoyable parfois. Lui aurait-on caché les passages où les mots amour et pardon sont utilisés?
Il faut lire comment il réussit à regarder un match un jour de shabbat (théoriquement interdit, mais le jour du shabbat pratiquement tout a l'air interdit...) et sa première expérience de nourriture non casher. On baigne complètement dans les références religieuses ( assez expliquées quand même), avec en prime un petit séjour en Israël et des prières réelles ou virtuelles au Mur des lamentations...
Les avis de Mango, Liliba, Naina, Elisabeth Bennett, dasola,
Un grand merci à Elisabeth Bennett pour le prêt!
Lu dans le cadre du Prix littéraire des blogueurs
Shalom Auslander
Poche 10/18, 2009
"Désacraliser le Shabbat, c'est comme violer les six cent treize commandements de la Torah" (Rabbi Blowfeld)
Le moins que l'on puisse dire, c'est que son éducation dans un milieu juif orthodoxe strict a laissé des traces dans le cerveau surchauffé et paranoïaque de Shalom Auslander, le héros du roman.
Comme il est maintenant marié et bientôt père, ses craintes quant à la grossesse et l'accouchement deviennent obsessionnelles, et, grande question, circoncision ou pas? Au long de grands discours adressés à un Dieu vu comme méchant et vengeur, il se rebelle, revient en arrière, promet, négocie, etc... C'est extrêmement fou et drôle, un peu pitoyable parfois. Lui aurait-on caché les passages où les mots amour et pardon sont utilisés?
Il faut lire comment il réussit à regarder un match un jour de shabbat (théoriquement interdit, mais le jour du shabbat pratiquement tout a l'air interdit...) et sa première expérience de nourriture non casher. On baigne complètement dans les références religieuses ( assez expliquées quand même), avec en prime un petit séjour en Israël et des prières réelles ou virtuelles au Mur des lamentations...
Les avis de Mango, Liliba, Naina, Elisabeth Bennett, dasola,
Un grand merci à Elisabeth Bennett pour le prêt!
Lu dans le cadre du Prix littéraire des blogueurs
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Mango
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la Pyrénéenne
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Yv
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emiLie
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mellisa
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Choco
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Camille Lee
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Camille Lee
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keisha
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