Manhattan
Anne Révah
arléa, 2009
Que dire sur ce livre qui n'est déjà connu?
"Bien voilà où vous en êtes, je vais vous expliquer, c'est peut-être un maladie démyélinisante, ce n'est pas simple à comprendre, en tout cas ça donne ce que vous avez au bras, e, là, dans votre cerveau il y a quelques taches blanches, c'est un peu à cause d'elles que vous avez mal. (...) Il va falloir faire d'autres examens, on ne peut pas être totalement sûr, il vaut mieux faire un bilan complet, en tout cas on en est là."
En sortant de chez le neurologue, elle jette les clichés de la radio, et fuit... loin de son mari, ses enfants,... Elle emmène le chien(!). Puis décide qu'elle se doit d'écrire à sa mère, lui avouant "J'ai fait de ma vie un vitrine pour compagnon du devoir. Ce n'était pas une vie sans joie, c'était une vie sans vie."
Un court roman qui se lit d'une traite. J'ai d'abord ressenti de l'agacement face à la réaction de cette jeune femme, jusqu'à certaine révélation, et là ce fut le choc : oui, on l'a salie, cassée, volée, abusée, et je comprends qu'elle se doit d'en parler à sa mère (un peu tard?), dont le rôle demeure obscur.
Ce roman circule depuis quelque temps, son prochain lecteur sera la personne qui en fera la demande en commentaire! N'hésitez pas!
De nombreux avis recensés chez BOB
Challenge du premier roman chez Saphoo
Anne Révah
arléa, 2009
Que dire sur ce livre qui n'est déjà connu?
"Bien voilà où vous en êtes, je vais vous expliquer, c'est peut-être un maladie démyélinisante, ce n'est pas simple à comprendre, en tout cas ça donne ce que vous avez au bras, e, là, dans votre cerveau il y a quelques taches blanches, c'est un peu à cause d'elles que vous avez mal. (...) Il va falloir faire d'autres examens, on ne peut pas être totalement sûr, il vaut mieux faire un bilan complet, en tout cas on en est là."
En sortant de chez le neurologue, elle jette les clichés de la radio, et fuit... loin de son mari, ses enfants,... Elle emmène le chien(!). Puis décide qu'elle se doit d'écrire à sa mère, lui avouant "J'ai fait de ma vie un vitrine pour compagnon du devoir. Ce n'était pas une vie sans joie, c'était une vie sans vie."
Un court roman qui se lit d'une traite. J'ai d'abord ressenti de l'agacement face à la réaction de cette jeune femme, jusqu'à certaine révélation, et là ce fut le choc : oui, on l'a salie, cassée, volée, abusée, et je comprends qu'elle se doit d'en parler à sa mère (un peu tard?), dont le rôle demeure obscur.
Ce roman circule depuis quelque temps, son prochain lecteur sera la personne qui en fera la demande en commentaire! N'hésitez pas!
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gwenaelle
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Océane
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Leiloona
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keisha
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Lystig
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keisha
Il y a 3 ans
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