Les vies extraordinaires d'Eugène
Isabelle Monnin
JCLattès, rentrée littéraire 2010
Merci à Calypso pour le prêt!
"Eugène a-t-il existé même s'il n'a pas vécu?"
Après le décès de son fils à l'âge de six jours, le père décide de "faire l'historien", recherchant la documentation auprès des infirmières du service de pédiatrie, dans ses souvenirs de famille et même la liste des bébés de la crèche qui auraient dû devenir les camarades d'Eugène. De son côté, la mère se mure dans le silence, cousant des pantalons rouges de la taille trois mois à la taille très très adulte...
C'est le père qui parle, mis à part la lettre de la mère à la fin.
Sur fond de préparation au marathon de New York, de fin de vie du grand père, et d'idylle présidentielle, Les vies extraordinaires d'Eugène est un roman formidable sur un sujet casse-cou, qui prend parfois à la gorge bien sûr, mais utilise un humour du désespoir qui emporte l'adhésion. Un roman très fort, poignant mais écrit avec brio, finesse et sobriété.
En plus de calypso, en parlent plus longuement restling, la ruelle bleue, clara (non terminé, pour des raisons personnelles que je comprends parfaitement), George Sand (allez vite lire son billet magnifique!)
L'auteur est grand reporter au Nouvel Observateur
Premier roman
Isabelle Monnin
JCLattès, rentrée littéraire 2010
Merci à Calypso pour le prêt!
"Eugène a-t-il existé même s'il n'a pas vécu?"
Après le décès de son fils à l'âge de six jours, le père décide de "faire l'historien", recherchant la documentation auprès des infirmières du service de pédiatrie, dans ses souvenirs de famille et même la liste des bébés de la crèche qui auraient dû devenir les camarades d'Eugène. De son côté, la mère se mure dans le silence, cousant des pantalons rouges de la taille trois mois à la taille très très adulte...
C'est le père qui parle, mis à part la lettre de la mère à la fin.
Sur fond de préparation au marathon de New York, de fin de vie du grand père, et d'idylle présidentielle, Les vies extraordinaires d'Eugène est un roman formidable sur un sujet casse-cou, qui prend parfois à la gorge bien sûr, mais utilise un humour du désespoir qui emporte l'adhésion. Un roman très fort, poignant mais écrit avec brio, finesse et sobriété.
En plus de calypso, en parlent plus longuement restling, la ruelle bleue, clara (non terminé, pour des raisons personnelles que je comprends parfaitement), George Sand (allez vite lire son billet magnifique!)
L'auteur est grand reporter au Nouvel Observateur
Premier roman
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