Rosa Candida
Audur Ava Ólafsdóttir
Zulma, rentrée littéraire 2010
A vingt-deux ans, Arnljótur (belle occasion d'utiliser les caractères spéciaux!) vit encore chez son père; sa mère décédée lui a transmis l'amour des plantes et des fleurs, et il quitte son pays pour aller remettre en état une ancienne roseraie dans un monastère, nommée dans les vieux livres le Merveilleux Jardin des Roses Célestes. Il part donc, voyageant léger, mais sans oublier trois boutures de Rosa Candida et la photo de Flóra Sól, un bébé de quelques mois né d'une brève étreinte avec Anna, étudiante en génétique.
A la descente d'avion, il est opéré d'urgence de l'appendicite, puis un voyage de plusieurs jours le mène à destination, en suivant une ancienne route de pèlerinages. Là il rencontrera un moine cinéphile, continuera à téléphoner régulièrement à son père, avec des sujets récurrents, la solitude (non, papa) l'argent (ça va, papa) et la cuisine (il me semble que maman ajoutait de la fécule). La petite Flóra Sól pointera aussi à un moment donné le bout de son mignon petit nez...
Depuis le temps que je voulais découvrir ce roman, c'est chose faite et j'ai dévoré avec bonheur cette histoire presque irréelle qui reste dans un flou temporel et géographique. Tout se déroule sans guère d'accrocs, la mer est belle et peu agitée si j'ose dire.
"J'ai un enfant. C'est là qu'on sait qu'on mourra un jour." Arnljótur, préoccupé par la mort, le corps et les roses et autres végétations donne l'impression d'être très jeune, très naïf, maladroit et attendrissant. L'on parle aussi beaucoup de nourriture et de préparation de plats dans ce roman.La petite Flóra Sól est un amour d'enfant, tout à fait craquante. Je suis sortie de ma lecture vraiment enchantée, mais n'ayant guère envie de tester la soupe au chocolat et me demandant bien où se trouve cette roseraie à plus de deux mille kilomètres et trois frontières d'un aéroport...
A votre tour de découvrir ce chouette roman tout doux, tout cocooning, idéal pour les journées d'automne...
Les avis de Griotte, Lapinoursinette, Passion des livres, pages à pages, cuné, cathulu, kathel, qui cite Bellesahi, Béné, Kallikrates
clara, qui cite tulisquoi et esmeraldae, hécate, chiffonnette, et sûrement plein d'autres, signalez-vous!Donc: gwenaelle, dasola,
Antigone a un avis dissonant.
Audur Ava Ólafsdóttir
Zulma, rentrée littéraire 2010
A vingt-deux ans, Arnljótur (belle occasion d'utiliser les caractères spéciaux!) vit encore chez son père; sa mère décédée lui a transmis l'amour des plantes et des fleurs, et il quitte son pays pour aller remettre en état une ancienne roseraie dans un monastère, nommée dans les vieux livres le Merveilleux Jardin des Roses Célestes. Il part donc, voyageant léger, mais sans oublier trois boutures de Rosa Candida et la photo de Flóra Sól, un bébé de quelques mois né d'une brève étreinte avec Anna, étudiante en génétique.
A la descente d'avion, il est opéré d'urgence de l'appendicite, puis un voyage de plusieurs jours le mène à destination, en suivant une ancienne route de pèlerinages. Là il rencontrera un moine cinéphile, continuera à téléphoner régulièrement à son père, avec des sujets récurrents, la solitude (non, papa) l'argent (ça va, papa) et la cuisine (il me semble que maman ajoutait de la fécule). La petite Flóra Sól pointera aussi à un moment donné le bout de son mignon petit nez...
Depuis le temps que je voulais découvrir ce roman, c'est chose faite et j'ai dévoré avec bonheur cette histoire presque irréelle qui reste dans un flou temporel et géographique. Tout se déroule sans guère d'accrocs, la mer est belle et peu agitée si j'ose dire.
"J'ai un enfant. C'est là qu'on sait qu'on mourra un jour." Arnljótur, préoccupé par la mort, le corps et les roses et autres végétations donne l'impression d'être très jeune, très naïf, maladroit et attendrissant. L'on parle aussi beaucoup de nourriture et de préparation de plats dans ce roman.La petite Flóra Sól est un amour d'enfant, tout à fait craquante. Je suis sortie de ma lecture vraiment enchantée, mais n'ayant guère envie de tester la soupe au chocolat et me demandant bien où se trouve cette roseraie à plus de deux mille kilomètres et trois frontières d'un aéroport...
A votre tour de découvrir ce chouette roman tout doux, tout cocooning, idéal pour les journées d'automne...
Les avis de Griotte, Lapinoursinette, Passion des livres, pages à pages, cuné, cathulu, kathel, qui cite Bellesahi, Béné, Kallikrates
clara, qui cite tulisquoi et esmeraldae, hécate, chiffonnette, et sûrement plein d'autres, signalez-vous!Donc: gwenaelle, dasola,
Antigone a un avis dissonant.
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