La mer noire
Kéthévane Davrichewy
Sabine Wespieser, 2010
Lauréat du Prix du Roman 2010 Version Femina - Virgin Megastore
Tamouma se prépare à fêter son quatre-vint-dixième anniversaire, entourée de ses enfants, petits enfants, cousins, bref, toute la famille et tous les amis. Sa santé l'oblige à rester dans son appartement parisien, mais elle ne s'ennuie pas, tout à ses souvenirs. Elle repart vers son enfance, l'été de ses quinze ans, en Géorgie, quand elle a fait connaissance de Tamaz, l'amour de sa vie... Elle évoque l'exil, l'installation en France, les deuils, l'attachement à sa culture.
Une très jolie histoire bien construite, racontée simplement, tout en finesse. L'exil de Tamouma et son intégration est exemplaire de bien d'autres.
"Je ne dis pas que j'ai à rougir de nos origines, mais j'ai peur de la différence. Je la sens, dans leurs yeux, quand nos mères marmonnent des phrases incompréhensibles pour eux, quand je dois camoufler un trou dans mes vêtements, quand je porte des chaussures trop petites, quand on n'arrive pas à prononcer mon nom."
"Ils ont posé leurs valises, se sont assis dessus, mais ne les ont jamais ouvertes."
Les avis de kathel, lo, Aifelle, Anne, Leiloona, Stephie, esmeraldae, sylire, BOB
Merci à Anne Vaudoyer et l'éditeur, dont les choix demeurent de qualité!
Kéthévane Davrichewy
Sabine Wespieser, 2010
Lauréat du Prix du Roman 2010 Version Femina - Virgin Megastore
Tamouma se prépare à fêter son quatre-vint-dixième anniversaire, entourée de ses enfants, petits enfants, cousins, bref, toute la famille et tous les amis. Sa santé l'oblige à rester dans son appartement parisien, mais elle ne s'ennuie pas, tout à ses souvenirs. Elle repart vers son enfance, l'été de ses quinze ans, en Géorgie, quand elle a fait connaissance de Tamaz, l'amour de sa vie... Elle évoque l'exil, l'installation en France, les deuils, l'attachement à sa culture.
Une très jolie histoire bien construite, racontée simplement, tout en finesse. L'exil de Tamouma et son intégration est exemplaire de bien d'autres.
"Je ne dis pas que j'ai à rougir de nos origines, mais j'ai peur de la différence. Je la sens, dans leurs yeux, quand nos mères marmonnent des phrases incompréhensibles pour eux, quand je dois camoufler un trou dans mes vêtements, quand je porte des chaussures trop petites, quand on n'arrive pas à prononcer mon nom."
"Ils ont posé leurs valises, se sont assis dessus, mais ne les ont jamais ouvertes."
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