Alzheimer mon amour
Cécile Huguenin
Héloïse d'ormesson, 2011
"Peut-on faire le deuil d'un être vivant?"
Daniel, le mari de Cécile depuis trente ans, est malade. Différents signes l'ont alertée, le plus clair étant l'oubli de la boîte de thé du matin (lire le passage chez Brize). Commence un long parcours, un long questionnement, médecins, neurologues, spécialistes, hôpital de jour, médicaments, stimulations, acceptation qu'il ne guérira pas, mais pas encore qu'il ne peut y avoir un progrès durable.
Un court séjour en maison de retraite, puis le couple part à Madagascar. Retour final en France, dans un lieu conçu, pensé, construit pour les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.Une belle dernière partie, un adieu, illuminée par les poèmes de Daniel, en écho à ses phrases devenues maladroites. Un hommage aux soignants.
Ma lecture a été un peu parasitée par des souvenirs personnels*, mais je ne la regrette pas. Ce court récit écrit avec pudeur, sans sensiblerie, se lit quasiment d'une traite. Un témoignage clair et sans fard, réaliste, qu'il serait dommage d'éviter. La couverture est absolument superbe.
Interview de l'auteur
Les avis de Brize (merci!!!), cathulu, l'encreuse,chiffonnette,
*J'en ai touché deux mots à l'auteur, qui excusera je l'espère une certaine distanciation dans ce billet.
Cécile Huguenin
Héloïse d'ormesson, 2011
"Peut-on faire le deuil d'un être vivant?"
Daniel, le mari de Cécile depuis trente ans, est malade. Différents signes l'ont alertée, le plus clair étant l'oubli de la boîte de thé du matin (lire le passage chez Brize). Commence un long parcours, un long questionnement, médecins, neurologues, spécialistes, hôpital de jour, médicaments, stimulations, acceptation qu'il ne guérira pas, mais pas encore qu'il ne peut y avoir un progrès durable.
Un court séjour en maison de retraite, puis le couple part à Madagascar. Retour final en France, dans un lieu conçu, pensé, construit pour les patients atteints de la maladie d'Alzheimer.Une belle dernière partie, un adieu, illuminée par les poèmes de Daniel, en écho à ses phrases devenues maladroites. Un hommage aux soignants.
Ma lecture a été un peu parasitée par des souvenirs personnels*, mais je ne la regrette pas. Ce court récit écrit avec pudeur, sans sensiblerie, se lit quasiment d'une traite. Un témoignage clair et sans fard, réaliste, qu'il serait dommage d'éviter. La couverture est absolument superbe.
Interview de l'auteur
Les avis de Brize (merci!!!), cathulu, l'encreuse,chiffonnette,
*J'en ai touché deux mots à l'auteur, qui excusera je l'espère une certaine distanciation dans ce billet.
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cathulu
Il y a 2 ans
Sandrine(SD49)
Il y a 2 ans
C. Sauvage
Il y a 2 ans
Edelwe
Il y a 2 ans
Manu
Il y a 2 ans
zarline
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A_girl_from_earth
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clara
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Anne
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Ellcrys
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LN
Il y a 2 ans
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