Comment j'ai appris à lire
Agnès Desarthe
Stock, 2013
Longtemps Agnès Desarthe n'a pas aimé lire.
Pourtant tout avait bien commencé. Un milieu familial que j'imagine propice (son père est le pédiatre Aldo Naouri, et quand je pense que son frère est Laurent Naouri, époux de Nathalie Dessay, je suis déjà en mode opéra), même si j'admets qu'en tel cas ce n'est ni nécessaire (j'en suis la preuve) ni suffisant (j'ai aussi des noms). A l'école, elle apprend vite à lire. Mais elle n'aime pas lire. Refus. Madame Bovary, ce n'est pas elle. En revanche, elle veut écrire!
Son père le petit malin la soigne à coups d'auteurs de la noire de Gallimard. Des éclaircies, avec Prévert, Salinger, Flaubert (un cœur simple)(toujours pas Emma), George Sand, et Duras, Camus, Faulkner vers quinze ans. Une terminale littéraire (toujours sans lire!), puis hypokhâgne. Toujours rebelle à la lecture.
Quand j'ai entendu parler de ce livre chez Le bouquineur et Flo, je me suis interrogée, pétrie d'incompréhension. Comment est-ce possible? Surtout qu'elle afffiche au compteur de ses lectures des auteurs solides! Et puis, si on n'aime pas lire, quelle idée de suivre des études de lettres!
Mais justement, en hypokhâgne, tout change pour elle...
Pas question que je dévoile le résultat de l'enquête qu'Agnès Desarthe a menée sur elle-même. Bien évidemment les racines étaient anciennes et personnelles. Une fois "guérie", elle a adoré lire les romans haïs autrefois. Plus même, elle a travaillé comme lectrice chez un éditeur. Désormais elle est à la fois écrivain et traductrice, et m'a fascinée par ses pages intelligentes et subtiles sur ce métier, en particulier un choix dans la traduction de Corps étrangers de Cynthia Ozick.
Et voilà comment un livre démarré je l'avoue dans l'incompréhension et l'agacement s'est transformé en une chouette découverte, une réflexion sur la lecture, le plaisir de la lecture, les racines familiales, les premiers souvenirs d'école. Si j'ajoute que c'est écrit avec finesse et humour, vous comprendrez que je recommande chaudement ce Comment j'ai appris à lire. Un indispensable.
Agnès Desarthe
Stock, 2013
Longtemps Agnès Desarthe n'a pas aimé lire.
Pourtant tout avait bien commencé. Un milieu familial que j'imagine propice (son père est le pédiatre Aldo Naouri, et quand je pense que son frère est Laurent Naouri, époux de Nathalie Dessay, je suis déjà en mode opéra), même si j'admets qu'en tel cas ce n'est ni nécessaire (j'en suis la preuve) ni suffisant (j'ai aussi des noms). A l'école, elle apprend vite à lire. Mais elle n'aime pas lire. Refus. Madame Bovary, ce n'est pas elle. En revanche, elle veut écrire!
Son père le petit malin la soigne à coups d'auteurs de la noire de Gallimard. Des éclaircies, avec Prévert, Salinger, Flaubert (un cœur simple)(toujours pas Emma), George Sand, et Duras, Camus, Faulkner vers quinze ans. Une terminale littéraire (toujours sans lire!), puis hypokhâgne. Toujours rebelle à la lecture.
Quand j'ai entendu parler de ce livre chez Le bouquineur et Flo, je me suis interrogée, pétrie d'incompréhension. Comment est-ce possible? Surtout qu'elle afffiche au compteur de ses lectures des auteurs solides! Et puis, si on n'aime pas lire, quelle idée de suivre des études de lettres!
Mais justement, en hypokhâgne, tout change pour elle...
Pas question que je dévoile le résultat de l'enquête qu'Agnès Desarthe a menée sur elle-même. Bien évidemment les racines étaient anciennes et personnelles. Une fois "guérie", elle a adoré lire les romans haïs autrefois. Plus même, elle a travaillé comme lectrice chez un éditeur. Désormais elle est à la fois écrivain et traductrice, et m'a fascinée par ses pages intelligentes et subtiles sur ce métier, en particulier un choix dans la traduction de Corps étrangers de Cynthia Ozick.
Et voilà comment un livre démarré je l'avoue dans l'incompréhension et l'agacement s'est transformé en une chouette découverte, une réflexion sur la lecture, le plaisir de la lecture, les racines familiales, les premiers souvenirs d'école. Si j'ajoute que c'est écrit avec finesse et humour, vous comprendrez que je recommande chaudement ce Comment j'ai appris à lire. Un indispensable.
Incompréhension et agacement, c'est à peu près ce que la dame m'inspire, je ne suis pas sûre du tout de lire son récit.
RépondreSupprimerMais ça va pas du tout! Je fais un billet personnel et honnête genre "mon ressenti de lecture" pour terminer sur "j'ai adoré" et là on ne me suit pas! Je proteste, tu dois lire ce livre! (pour ses autres romans, je ne dis rien)
SupprimerMalgré ton billet tentateur, je ne suis pas certaine d'avoir très envie de lire cet ouvrage. Si je le trouve à la médiathèque, j'y jetterai un œil, quand même, histoire de ne pas passer à côté de quelque chose. A sept ans, mon père - qui s'occupait très rarement de ses filles - a voulu à toute force me faire lire Jules Verne. C'était mal me connaitre... j'ai renâclé. Et lu Jules Verne bien plus tard, quand j'ai eu envie...
RépondreSupprimerVois ma réponse à Aifelle. Lis ce livre, tu me remercieras... ^_^
SupprimerOh mes parents (qui ne lisaient pas grand chose à part le journal local...) n'ont jamais eu à me forcer à lire, juste à me tirer des bouquins sur lesquels je mettais la main (bon, je ne vais pas commencer avec mon enfance malheureuse, en fait j'ai vécu une chouette enfance - juste pas assez de livres...)
Même expérience d'enfance que toi sur absolument tous les points !
SupprimerJe garde une reconnaissance éternelle à la dame qui m'offrait chaque année un bouquin (bon, OK, la comtesse de Ségur)(je les ai encore!). Mais j'ai vraiment lu tout ce qui me tombait sous la main, des BD médiocres, etc... Qu'aurait-ce été si j'avais eu vraiment du costaud sous les yeux?
SupprimerJe lisais et relisais mes livres de "prix de fin d'année" (oui, il y en avait à l'époque)(et je les ai encore)
Bon, j'arrête. ^_^
Bon ben voilà ! ;)
RépondreSupprimer(oui, aujourd'hui pas de com-roman :D)
@Aifelle : Agnès Desarthe est adorable. Beaucoup de fraîcheur et pas grosse tête. Ça devient rare...
Tu as vu j'ai raconté mon expérience en cours de lecture, et maintenant "on" prétexte ça pour ne pas vouloir lire ce lire! ^_^ J'ai bien fait de te faire confiance, c'est sûr!!! Merci!
SupprimerJe note dans un coin de ma tête ... je crois que c'est surtout son paternel qui m'agace, du coup elle en bénéficie par ricochet. C'est pas bien, je sais.
SupprimerAllons bon, son père? Il me semble qu'il écrit aussi...
SupprimerJe viens de voir ça sur wikipedia, euh, en effet, il y a eu polémique...
Bon, tu verras, à la bibli.
Tu comprends combien il est difficile d'expliquer le parcours de l'auteur sans révéler tout le contenu du livre...
SupprimerEtant donné le paradoxe que pose Desarthe, il me semble que seule la lecture de son récit peut éclairer ceux qui se posent des questions (d'où mon incitation à le lire pour se faire une idée par soi-même).
Tu as eu parfaitement raison de ne rien révéler (même si j'ai grincé des dents avec ton billet), donc na, je voulais savoir, et j'ai tenu le coup!
SupprimerIl me semble n'avoir rien révélé non plus d'important. Et je dis juste, lisez-le, comme toi.
Je ne suis pas plus tentée que ça mais on verra bien si je tombe dessus par hasard.
RépondreSupprimerOh lis le, tu verras, c'est vraiment très bien!
SupprimerJe ne sais pas si elle est adorable, mais à "La Grande Librairie" je ne l'ai pas trouvée spécialement sympathique, elle ne m'a pas donné envie du tout de lire son livre/récit, AU CONTRAIRE de Keisha avec ce billet :) Je suis super intriguée, et c'est un ressort qui fonctionne très bien chez moi ^^
RépondreSupprimer(Et ta réponse Keisha au comm d'Aifelle m'a fait pouffer :)))
Les deux cités dans mon billet (Le bouquineur et Flo) m'ont donné envie de le lire (et de poursuivre ma lecture, parce qu'au début, bon, je n'adhérais que moyennement)(mais c'est bien écrit et avec humour, ça compte, donc j'ai continué). Intriguée aussi j'étais, donc j'ai voulu savoir (et comme ce n'est pas un pavé, loin de là). Intéressant, même si évidemment son histoire reste très personnelle et pas applicable à tous les autres gamins qui ne veulent pas lire.
SupprimerOui, Aifelle, je plaisante, je sais qu'elle lit ce qu’elle veut, elle a bien raison, mais j'aime insister quand je pense qu'il peut y avoir belle découverte ...
Heureusement que je lis ton billet parce que ce livre, je n'ai pas du tout envie de le lire. J'ai entendu l'auteur à la radio, et elle m'a exaspérée. Le côté, "je n'aimais pas lire mais j'explosais les scores à Henri IV, désolée, je suis douée, c'est comme ça"; J'ai trouvé ça d'une arrogance...bref, peut-être que je me laisserais tenter (et peut être que je n'aurais pas le choix il est en sélection pour Elle)
RépondreSupprimerHé oui, elle ne lisait pas en terminale mais avait de bonnes notes... Et elle passe en hypokhâgne... Elle ne le dit pas, mais quand même on se dit qu'elle doit être douée. Tu comprends l'agacement avoué dans mon billet?
SupprimerCeci étant, sa "libération", son enquête sur les raisons de son non amour de la lecture, c'est fort intéressant, et suffit à recommander cette lecture.
Bon, bon, d'accord, je note. Mais uniquement grâce à ton commandement final.
RépondreSupprimerFais toi ton idée, c'est court, et passe sur des interrogations au début, après ça s'éclaire. J'ai vraiment aimé.
SupprimerIndispensable, dis-tu ? Cela suffit à me convaincre.
RépondreSupprimerJe pense que nous avons tous l'amour de la lecture, sur les blogs en tout cas (sinon nous ferions autre chose ^_^) et ce récit est intéressant.
SupprimerIl est dans la pré-sélection Elle. On verra s'il passe le cap.
RépondreSupprimerDonc tu le liras!!! ^_^ Je verrai ton avis.
SupprimerTu m'as convaincue.
RépondreSupprimerSobre, efficace, quel commentaire! Mais d'autres m'ont convaincue avant, c'est une chaîne...
SupprimerSes romans ne m'attirent pas (quoique... j'ai un jeunesse qui traîne dans ma PAL, recommandé par une libraire)), mais moi aussi je tilte à "la soeur de Laurent Naouri" : noooon !!!!!
RépondreSupprimerSes romans vus sur blogs (le dernier, avec un chasseur), ne m'attirent pas forcément non plus. Mais là, c'est le thème qui m'attirait, bien évidemment.
SupprimerHé oui, ce frangin a un parcours intéressant, d'ailleurs...
Je crois que les commentaires sont aussi intéressants que ton billet !!! Warf, toi en mode opéra ??? Rien que ça, je ris comme une dinde !!! Je connais le papa (j'y ai emmené mon fils) (l'a pas mieux marché qu'un autre), ça sert d'avoir un père qui s'est déjà fait un nom, qui débroussaille le chemin... Ca n'empêche pas le talent mais je ne te promets rien sur ce coup là !!! :D
RépondreSupprimerQuoi, oui, l'opéra, et en gros le vocal, hier soir encore un concert baroque de bonne tenue... (et avant hier du jazz...). Pour l'opéra, j'ai déjà prévu deux salles pas loin (euh, 180 km ça fait pas trop trop loin) avec deux Carmen carrément.
SupprimerConnais pas le papa, mais sans doute a-t-il aidé sa fille à entrer justement chez l’éditeur comme lectrice. Ensuite, ma foi, elle fait son chemin.
J'ai lu et apprécié du même auteur " cinq photos de ma femme " et le remplaçant, le titre de celui ci ne m'aurait pas attiré mais puisque c'est une chouette découverte pour toi je le note
RépondreSupprimerHeu justement c'est le titre qui m'attire! (je pourrais écrire un bouquin sur la lecture et moi, depuis l'enfance, mais nous sommes sûrement comme ça, avec les blogs lecture, des expériences intéressantes)
SupprimerJe n'en ai lu que les premières pages et je confirme, la narration fonctionne au ressenti,grand moment de nostalgie lorsqu'elle évoque la méthode de lecture Daniel & Valérie.
RépondreSupprimerBon, à te le lire je me dis qu'il faut que je me procure l'ouvrage en question, oui j'avoue de temps à autre je squatte les librairies, lit quelques pages et n'achète pas le livre. Damned!!!!
Les bibliothèques sont nos amies aussi, ne l'oublie pas... ^_^
SupprimerDaniel et Valérie, pas mon époque, mais j'en ai entendu parler. Il y aurait beaucoup à dire sur ces méthodes, le sexisme latent, etc... Mais ça a déjà été fait.
Je l'avais déjà noté chez Flo (ouf^^)
RépondreSupprimerJe reste blanche comme neige sur ce coup là, donc.
Supprimerj'ai hésité à l'acheter ...je crois qu'il va falloir passer à l'acte !
RépondreSupprimerPense aussi aux biblis!
SupprimerJ'avoue que de mon côté, ce genre de témoignage ne m'intéresse pas.
RépondreSupprimerJe voulais surtout comprendre pourquoi elle avait un problème parce qu'au départ il n'y avait aucune raison, et en plus elle lisait quand même des auteurs costauds.
Supprimerje l'avais noté après avoir entendu une émission de radio mais je redoutais moi aussi la déception, je te suis sur ce coup là et je note ce livre dès que je pourrais retourner à la bibli
RépondreSupprimerOui, la bibli, très bien. La seconde partie est plus fascinante, ne t'inquiète pas si la première t'agace...
SupprimerA. Desarthe ne fait pas partie de mon panthéon littéraire contemporain, mais je l'ai entendue à la Grande Librairie, et j'avoue avoir été titillé
RépondreSupprimerC'est le thème qui m'a attirée, pour le reste, ma foi, jamais lu ses romans.
SupprimerJe l'ai entendu également à la grande librairie et elle m'avait déjà fait envie. Là tu finis de me convaincre qu'il me le faut !!
RépondreSupprimerTu fais comme moi, la bibli, tranquillement...
SupprimerJe l'ai lu "en diagonale" et n'ai pas fait de billet... Il m'a aussi agacé au début et j'ai préféré la seconde partie, pas de quoi sauter au plafond non plus ;-)
RépondreSupprimerMême ressenti, alors! Mais la seconde partie est vraiment intéressante. A lire pour ce témoignage personnel. Pas sûr que je lise ses romans ensuite, non plus. Mais Cynthia Ozick peut être!
SupprimerVous me donnez envie de lire ce livre. En fait, j'aime tous les livres qui parlent de lecture. Merci !
RépondreSupprimerHé oui, nous sommes faibles et curieux...
SupprimerElle n'aimait pas lire,cela signifie qu'elle lisait moins, et avec moins de plaisir que les autres filles évoluant dans un milieu cultivé. Ce qui fait tout de même beaucoup de lectures par rapport à la moyenne.
RépondreSupprimerD'autre part, si on n'a pas envie de dévorer des tas de bouquins, on a plus de temps pour se consacrer à sa scolarité et la réussir.
C'est mon avis! je peux me tromper...j'ai lu un certain nombre de témoignages d'écrivains évoquant leur découverte des livres. Ils sont tous différents les uns des autres.
Exactement! Par rapport aux non lecteurs nombreux dans les écoles actuelles, elle lisait vraiment beaucoup, et certains auteurs par plaisir. Pour d'autres, même imposés par le programme, rien à faire, ça ne passait pas (et elle ne les lisait pas, et après tout, pourquoi pas? ^_^)
SupprimerTu comprends qu'on aime tous ces témoignages, mais celui ci m'interrogeait pas mal, quand même...
C'est curieux mais en HK, c'est l'année où j'ai le moins aimé lire et surtout je n'ai presque pas lu de romans, sinon les imposés. C'est là que j'ai appris à lire en diagonale par nécessité et ce n'était en rien du plaisir! Je me suis rattrapée depuis en prenant mon temps et même en traînant quand le livre me plaît! Chacun ses expériences!
RépondreSupprimerJe n'ai pas fait HK (et j'apprends une nouveauté ^_^), mais c'est pendant mes études au lycée et à la fac (de sciences) que j'ai le moins lu, à part l'obligatoire du programme. Enfin, c'est mon souvenir, mais quand même les Rougon Macquart y sont passés, sans obligation... Et Hervé Bazin...
SupprimerL'essentiel est que tu n'aies pas perdu ton goût et ton plaisir de lire, suite à ça!
Il me tente bien ce livre. J'ai gardé un bon souvenir de lecture de Dans la nuit brune de cette auteure.
RépondreSupprimerTu connaîtras un peu de l'auteur, tu verras...
SupprimerMoi j'ai appris à lire sur le genoux de mon père en répétant les bulles de "L'oreille cassée", premier tintin de ma future collection. Plus tard en pension, la seule évasion de ses murs tristes et froids sur les hauteurs de Beauvais fût "Bon Morane", qui chaque soir me prenait par la min pour m'emmener à la recherche la couronne de Golconde. Depuis j'ai beaucoup voyagé avec d'autres...
RépondreSupprimerMême si l'on ne lisait pas de la grande et haute littérature, quelle importance, on lisait, et ensuite on a découvert d'autres choses. Mais on n'oublie pas ses premières lectures...
SupprimerPourquoi pas... mais en bibli ;) !
RépondreSupprimerJe suis comme toi, vivent les biblis, elles permettent les essais, et une fois lu, on rend (on peut éventuellement acheter si on veut garder)
SupprimerJ'aime beaucoup Agnès Desarthe, je compte bien lire celui-ci !
RépondreSupprimerJamais lu avant, mais là ce récit est intéressant, tu verras ton impression.
SupprimerAgnès Desarthe a parlé de cela lors dela dernière Grande Librairie. je vais suivre chaudement ta recommandation.
RépondreSupprimerJe ne suis pas La grande librairie, j'ignore si c'est bien ou mal pour ma PAL... En tout cas les blogs et les biblis se chargent bien de l'augmenter.
SupprimerTiens, voilà qui me redonne envie. Le titre m'intriguait mais une interview de l'auteur et ce qu'elle en disait dedans m'a donné l'impression que je m'énerverais plus qu'autre chose en le lisant...
RépondreSupprimerFort heureusement j'ai échappé à ces émissions là... Mais les deux billets des blogueurs (avec l'idée que je m'en faisais a priori) m’agaçaient pas mal, sans parler ensuite du début du livre. Mais comme c'est plutôt bien écrit, avec un poil d'humour (et que ce n'est pas un pavé) j'ai continué, et ça s'est arrangé. Ceci étant, même en y repensant maintenant, elle a l'air un peu gonflante, si tu vois ce que je veux dire. ^_^
SupprimerLe sujet m'intéresse bien sûr. Je vais essayer de mettre la main dessus.
RépondreSupprimerIl est assez récent. Si tu peux attendre la sortie en poche?
SupprimerCelui-là m'intéresse qui traite d'une activité qui occupe finalement beaucoup de mon temps depuis que je sais lire, soit à peu près 57 ans.
RépondreSupprimerBravo! Les non lecteurs ont du mal à comprendre... Mes parents devaient plutôt me dire d'arrêter de lire. Heureux parents, finalement, quand on pense aux gamins d'aujourd'hui. Mais certains sont de gros lecteurs, ne jetons pas tout le monde dans le même sac. Et tout espoir n'est pas perdu.
SupprimerJe ne connais pas vraiment l'auteur, si ce n'est que je vois apparaître son nom sur les blogues de temps à autres.
RépondreSupprimerUn livre sur les livres me plaît toujours. Surtout que moi, j'aimais lire petite, mais qu'il m'a fallu bien longtemps avant de passer aux livres "pour plus vieux". J'avais besoin d'avoir des images et longtemps je me suis cantonnée aux bouquins pour petits.
Comme toi je ne connais que le nom de l'auteur, pas sa vie ni ses romans. Son expérience est intéressante, et, tu vois, dans ton commentaire tu parles aussi de la tienne. Nous sommes différents dans nos cheminements, mais cela n'a pas d'importance, finalement.
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