Grands espaces
In Open Spaces, 2002
Russell Rowland
Autrement, 2007
Traduit par Marie-Anne de Kisch
Les Arbuckle possèdent un ranch dans le Montana. Plus de cinq mille hectares, trois cent bovins, une centaine d'ovins. En trois décennies de la première moitié du vingtième siècle, ils devront lutter contre la sécheresse des années trente, affronter le deuil, accepter les dissensions familiales, mes disparitions et réapparitions de Jack, un des fils, intégrer plus ou moins bien des "pièces rapportées"...
Blake, un autre fils, est le narrateur. Tenté par une carrière dans le base ball, il ne pourra quitter le coin où il est né. Un homme honnête, se remettant en question, racontant l'histoire comme ses souvenirs.
En plus d'une histoire intéressante, j'ai aimé l'évocation d'une vie rude dans ce coin où la neurasthénie guettait certains, où maints fermiers ne tenaient pas le coup et partaient ailleurs, en dépit d'une grande solidarité dans le travail entre ranchers. Pas de tape à l’œil, les changements sont progressifs, machines agricoles, automobiles, électricité, téléphone... Questions importantes : qui possèdera le ranch après la mort du père? Comment faire sa cour quand on est séparé par deux ou trois heures de route? (et sans téléphone).
Un roman qui ravira les amateurs de grands espaces, de cow boys au travail (et au cœur sensible quand même)
Les avis chez babelio
In Open Spaces, 2002
Russell Rowland
Autrement, 2007
Traduit par Marie-Anne de Kisch
Les Arbuckle possèdent un ranch dans le Montana. Plus de cinq mille hectares, trois cent bovins, une centaine d'ovins. En trois décennies de la première moitié du vingtième siècle, ils devront lutter contre la sécheresse des années trente, affronter le deuil, accepter les dissensions familiales, mes disparitions et réapparitions de Jack, un des fils, intégrer plus ou moins bien des "pièces rapportées"...
Blake, un autre fils, est le narrateur. Tenté par une carrière dans le base ball, il ne pourra quitter le coin où il est né. Un homme honnête, se remettant en question, racontant l'histoire comme ses souvenirs.
En plus d'une histoire intéressante, j'ai aimé l'évocation d'une vie rude dans ce coin où la neurasthénie guettait certains, où maints fermiers ne tenaient pas le coup et partaient ailleurs, en dépit d'une grande solidarité dans le travail entre ranchers. Pas de tape à l’œil, les changements sont progressifs, machines agricoles, automobiles, électricité, téléphone... Questions importantes : qui possèdera le ranch après la mort du père? Comment faire sa cour quand on est séparé par deux ou trois heures de route? (et sans téléphone).
Un roman qui ravira les amateurs de grands espaces, de cow boys au travail (et au cœur sensible quand même)
Les avis chez babelio
Une saga familiale dans un tel décor, je crois que j'aimerais!
RépondreSupprimerUne bonne lecture qui met des images dans la tête...
SupprimerTe voilà dans ton élément !
RépondreSupprimerAah l'ouest... (Euh, l'autre ouest...^_ ^). Complètement dans mon élément, oui!
SupprimerJe te laisse ce roman... je préfère un peu plus urbain... ;-)
RépondreSupprimerLa ville ne m'a pas manqué du tout dans ce roman! ^_^
SupprimerGrands espaces évidemment, c'était fait pour toi. J'aurais peur de m'ennuyer un peu dans cette vie de rancher.
RépondreSupprimerLes ranchers sont des êtres humains comme tout le monde, ils aiment, ils souffrent! ^_^
SupprimerJe t'accorde que c'est rural, comme histoire, mais l'auteur ne s'étale pas sur les détails, on en apprend plein mais sans longueurs.
Tu parlais dans ton billet d'un film avec Meryl Streep. Je n'ai pas l'impression qu'il ait vu le jour.
SupprimerPS. Me suis trompée de commentaire, ma question va avec l'histoire de la bibliothécaire et de son chat, bien sûr.
SupprimerJe relis mon billet...
Supprimer... et découvre le second commentaire : oui, le chat. Non, jamais entendu parler d'un tel film. Dommage... ^_^
Supprimerpas pour moi je pense...même si la première de couv' est magnifique ;-)
RépondreSupprimerN'est-ce pas?
SupprimerDommage que les grands espaces ne t'attirent pas. ^_^
je vois que nous sommes parties toutes les deux vers de grands espaces, je note ce titre évidemment
RépondreSupprimerLa belle nature, en tout cas. Je t'attends de pied ferme.
SupprimerJ'aime de plus en plus lire des romans de ce type... Il aurait pu être publié chez gallmeister celui-ci.
RépondreSupprimerMais oui, tiens, chez Gallmeister.... Autrement avait déjà la main dessus.
SupprimerHors sujet : connais-tu ? http://textespretextes.blogs.lalibre.be/archive/2013/08/02/dewey-readmore-books-1114880.html
RépondreSupprimer(Je ne sais pas faire de lien sur Facebook !!)
Tu parles si je connais! Je l'ai rapatrié de mon vieux blog, janvier 2009, pas tout jeune!
Supprimerhttp://enlisantenvoyageant.blogspot.fr/2009/01/dewey.html
J'avais apprécié ce roman d’une grande richesse narrative !
RépondreSupprimerEn effet, c'est une belle surprise! Sobre et prenant.
SupprimerJ'aime bien le titre original, "In Open Spaces". A lire pour prolonger le beau "Journal des cinq saisons" de Rick Bass, non loin de là.
RépondreSupprimerLe Montana me met dans un drôle d'état, oui... ^_^ Rick Bass, oui, même s'il ne m'enthousiasme pas toujours, ce bonhomme!
SupprimerJe l'ai en poche (dans la PAL, bien sûr), offert par L'encreuse quand elle tenait encore son blog...
RépondreSupprimerJ'ai connu le blog de l'encreuse il y a ... du temps!
SupprimerBonne lecture, alors!
Des cow-boys au coeur tendre, je craque évidemment, d'avance et les yeux fermés, si tu dis que c'est aussi bien que chez Gallmeister en plus ...
RépondreSupprimerMoins violent et tendu que certains Gallmeister, pas trop trop de nature writing non plus, juste un poil, et ça me plait bien!
SupprimerCrois tu que j'ai un coeur assez sensible ???!!!
RépondreSupprimerOh tu as un petit coeur sensible! ^_^
SupprimerCœur sensible je sais pas mais pour les grands espaces je suis toujours partant. Avec un peu de chance il sera à la médiathèque.
RépondreSupprimerSaute sur ton cheval et fonce! Grands espaces garantis, mais aussi dur labeur de la ferme...
SupprimerPourquoi pas ? Même si les cow boys ne sont pas forcément ma passion.
RépondreSupprimerJe dis cow boy à défaut d'autre terme, rancher ou fermier serait plus juste d'ailleurs...
SupprimerGrands espaces, Montana... c'est pile poil toi ça !:) Bon, moi tu sais ce qu'il en est.;)
RépondreSupprimerHé oui, mon créneau absolu...
Supprimeril est dans ma pal depuis...piouf..... Allez je le sort avant al fin de l'année !!!
RépondreSupprimerJe suis ravie! ^_^
Supprimerdes cow boys ? où ça ??????
RépondreSupprimerDans le roman, calme toi, Louisette! Au boulot dans les champs, à cheval, le marquage des veaux, bref, l'ambiance...
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