Le chardonneret
The Goldfinch
Donna Tartt
Plon, feux croisés, 2014
Traduit par Edith Soonckindt
Mort en 1654 suite à l'explosion de la poudrière de Delft, le peintre Fabritius a laissé peu d’œuvres derrière lui, dont ce Chardonneret, véritable personnage du roman.
Theo Decker ne bouge plus de sa chambre d'hôtel à Amsterdam, scrutant les journaux écrits dans une langue qu'il ne comprend pas. Rêvant de sa mère, il démarre la narration d'un fascinant flash back, quatorze ans auparavant, quand il était un jeune collégien se souciant fort d'une convocation au collège pour une grosse bêtise.Cette journée cruciale verra sa vie basculer.
Et ne comptez pas sur moi pour en dire plus.
Pourquoi ai-je adoré/dévoré ce roman? (et si Le maître des illusions est du même tonneau, je fonce!)
- près de 800 pages coulant toutes seules (bravo à la traductrice, bien sûr), et j'étais partante pour un peu plus.
- impossible de savoir comment tout cela va tourner. Un poil roman d'apprentissage à la Dickens furieusement moderne, mais quand même...
- un intérêt toujours renouvelé, des passages scotchants, des rebondissements inattendus, sans de faux suspenses artificiels (devinez qui je vise là)
- une écriture éblouissante, en particulier dans les atmosphères de villes, New York surtout, mais aussi Amsterdam ou Las Vegas
- une histoire d'amour, quand même, un peu tristounette mais si belle.
- des réflexions sur l'art, la vie, tout ça, quoi...
- de l'amitié
- un côté thriller, surtout vers la fin à Amsterdam.
A découvrir sans tarder!
Le billet de cathulu
Merci à Anne et Arnaud. Quant à la collection Feux croisés, elle confirme son excellence.
The Goldfinch
Donna Tartt
Plon, feux croisés, 2014
Traduit par Edith Soonckindt
Mort en 1654 suite à l'explosion de la poudrière de Delft, le peintre Fabritius a laissé peu d’œuvres derrière lui, dont ce Chardonneret, véritable personnage du roman.
Theo Decker ne bouge plus de sa chambre d'hôtel à Amsterdam, scrutant les journaux écrits dans une langue qu'il ne comprend pas. Rêvant de sa mère, il démarre la narration d'un fascinant flash back, quatorze ans auparavant, quand il était un jeune collégien se souciant fort d'une convocation au collège pour une grosse bêtise.Cette journée cruciale verra sa vie basculer.
Et ne comptez pas sur moi pour en dire plus.
Pourquoi ai-je adoré/dévoré ce roman? (et si Le maître des illusions est du même tonneau, je fonce!)
- près de 800 pages coulant toutes seules (bravo à la traductrice, bien sûr), et j'étais partante pour un peu plus.
- impossible de savoir comment tout cela va tourner. Un poil roman d'apprentissage à la Dickens furieusement moderne, mais quand même...
- un intérêt toujours renouvelé, des passages scotchants, des rebondissements inattendus, sans de faux suspenses artificiels (devinez qui je vise là)
- une écriture éblouissante, en particulier dans les atmosphères de villes, New York surtout, mais aussi Amsterdam ou Las Vegas
- une histoire d'amour, quand même, un peu tristounette mais si belle.
- des réflexions sur l'art, la vie, tout ça, quoi...
- de l'amitié
- un côté thriller, surtout vers la fin à Amsterdam.
A découvrir sans tarder!
Le billet de cathulu
Merci à Anne et Arnaud. Quant à la collection Feux croisés, elle confirme son excellence.
Commentaires
Du coup ma LAL vient de s'allonger.
Le Papou
Pas de panique, réserve lui un peu de temps, ça va bien se passer...
Console toi, il sera vite en poche!
Quant à toi, tu peux bien demander ce livre à ta bibli, en commande?
je l'ai noté et ton enthousiasme me fait dire que j'aimerais !
Pour Donna Tartt j'ai de très bon souvenirs du Maitre des illusions pour son ambiance. Il fait parti des livres que j'aurais envie de relire.
Bisous et @ bientôt
Mais je ne renonce pas à lire ce Maître des illusions...
Ne t'inquiète pas, tu n'es pas seule à avoir été déçue. Pour ma part, j'ai vraiment eu un grand plaisir de lecture, et admiré l'écriture et la façon de conter.
Un roman qui m' a marqué.
Une fin à la hauteur de mes espérances.