Mortels lundis
Mord ved Runddelen
Dan Turell
Ginkgo éditeur, 2004
Traduit par Sophie Grimal et Frédéric Gervais
"Un sombre pressentiment m'envahit. Chez les journalistes, c'est le métier qui vous rend parano ou c'est la parano qui vous fait choisir ce métier."
Plus qu'un polar, un roman noir, avec Copenhague en toile de fond. L'hiver, la pluie, le froid, et surtout la nuit. Le journaliste narrateur tombe sur le corps étranglé d'une jeune fille, un lundi soir, et suit l'enquête de son ami l'inspecteur Elhers.. Le meurtrier récidive le lundi suivant.
Une intrigue avec quelques moments plus palpitants, de l'humour souvent désabusé, mais surtout l'occasion de découvrir les quartiers populaires de la ville, des destins tristounets, les oiseaux de nuit, et deux personnages principaux un peu philosophes, attachants dans leurs facettes si humaines et leur façon de s'accrocher à leurs valeurs.
La fin : "Je frissonnai, songeant que l'équation humaine comportait bien des inconnues, et je me dis : mon pauvre, voilà que tu philosophes à cent sous de l'heure."
A découvrir!
L'auteur (site)
Mord ved Runddelen
Dan Turell
Ginkgo éditeur, 2004
Traduit par Sophie Grimal et Frédéric Gervais
"Un sombre pressentiment m'envahit. Chez les journalistes, c'est le métier qui vous rend parano ou c'est la parano qui vous fait choisir ce métier."
Plus qu'un polar, un roman noir, avec Copenhague en toile de fond. L'hiver, la pluie, le froid, et surtout la nuit. Le journaliste narrateur tombe sur le corps étranglé d'une jeune fille, un lundi soir, et suit l'enquête de son ami l'inspecteur Elhers.. Le meurtrier récidive le lundi suivant.
Une intrigue avec quelques moments plus palpitants, de l'humour souvent désabusé, mais surtout l'occasion de découvrir les quartiers populaires de la ville, des destins tristounets, les oiseaux de nuit, et deux personnages principaux un peu philosophes, attachants dans leurs facettes si humaines et leur façon de s'accrocher à leurs valeurs.
La fin : "Je frissonnai, songeant que l'équation humaine comportait bien des inconnues, et je me dis : mon pauvre, voilà que tu philosophes à cent sous de l'heure."
A découvrir!
L'auteur (site)
Commentaires
Je comprends ta question, le coup des alcoolos, on nous l'a souvent fait...
Intéressant pour l'ambiance ...
je suis jalouse !!!!!!!!!!