Du soleil en boîte
A Can of Sunshine
Christine Leunens
Philippe Rey, 2014
Traduit par Bernard Turle
Un petit tour en Nouvelle Zélande? Nancy, professeur d'astrophysique d'origine new yorkaise y vit avec son mari Mike et leur fille Chloé, sous l'oeil souvent critique d'Edith, belle-mère parfois envahissante... Mike disparaît accidentellement; après un deuil difficile, la vie de Nancy reprend. Au fil des années, les rapports entre Nancy et Edith vont évoluer.
Durant cette lecture j'ai eu l'impression d'un flou temporel, volontaire j'en suis sûre, avec juste de petits détails permettant de saisir que le temps avait passé. De même l'histoire s'est déroulée dans des directions inattendues, ce qui n'est pas déplaisant pour un lecteur. Au final, je dirais que c'est un roman fin et sensible, qui ne fait pas dans le pathos, mais ne m'a pas entraînée non plus. Quelques jolis passages décollent un peu plus, le fameux soleil en boîte, par exemple. L'auteur ne juge pas ses personnages, au lecteur d'avoir son opinion, c'est parfois déstabilisant. Le vieillissement et ses conséquences chez Nancy et Edith est bien senti, ainsi que les rapports de Chloé avec ses mère et grand mère. Beaucoup de non dits dans les relations souvent conflictuelles entre Nancy et Edith.
Comme souvent je me focalise sur des détails : Nancy, 40 ans, doit porter des lunettes; mais à double foyer? En 2000 les si pratiques verres progressifs existaient, non?
A Can of Sunshine
Christine Leunens
Philippe Rey, 2014
Traduit par Bernard Turle
Un petit tour en Nouvelle Zélande? Nancy, professeur d'astrophysique d'origine new yorkaise y vit avec son mari Mike et leur fille Chloé, sous l'oeil souvent critique d'Edith, belle-mère parfois envahissante... Mike disparaît accidentellement; après un deuil difficile, la vie de Nancy reprend. Au fil des années, les rapports entre Nancy et Edith vont évoluer.
Durant cette lecture j'ai eu l'impression d'un flou temporel, volontaire j'en suis sûre, avec juste de petits détails permettant de saisir que le temps avait passé. De même l'histoire s'est déroulée dans des directions inattendues, ce qui n'est pas déplaisant pour un lecteur. Au final, je dirais que c'est un roman fin et sensible, qui ne fait pas dans le pathos, mais ne m'a pas entraînée non plus. Quelques jolis passages décollent un peu plus, le fameux soleil en boîte, par exemple. L'auteur ne juge pas ses personnages, au lecteur d'avoir son opinion, c'est parfois déstabilisant. Le vieillissement et ses conséquences chez Nancy et Edith est bien senti, ainsi que les rapports de Chloé avec ses mère et grand mère. Beaucoup de non dits dans les relations souvent conflictuelles entre Nancy et Edith.
Comme souvent je me focalise sur des détails : Nancy, 40 ans, doit porter des lunettes; mais à double foyer? En 2000 les si pratiques verres progressifs existaient, non?
Les détails comme celui des lunettes m'agacent aussi dans un roman. Je ne te sens pas suffisamment conquise pour noter ce titre.
RépondreSupprimerOu alors c'est la traduction, je m'interroge... Je suis en mode pinailleuse, faut croire, hier encore j'ai tiqué sur un détail dans un autre roman.
SupprimerJ'ai lu ce roman sans aucun déplaisir, je dirais c'est un bon roman, mais j'ai un peu traîné dessus...
Sûrement simple problème de traduction, je pense.
SupprimerJ'aurais tendance à le penser aussi (mais j'ai vérifié qu'en français ce n'est pas du tout la même chose). Pourtant le traducteur est renommé!
SupprimerCe ne sera pas mon premier choix si je cherche un roman australien ou néo-zélandais... Dommage car j'aime beaucoup (je dois me répéter) les couvertures et la présentation des romans de cet éditeur.
RépondreSupprimerDommage, l'ambiance de là-bas, le climat, etc, n'est pas mal rendu... Mais je suis restée un peu à l'écart, il faut croire.
SupprimerComme toi, j'aime les couvertures de l'éditeur!
C'est un tout petit avis, ça... Trop petit pour que je note ce titre...
RépondreSupprimerDésolée, j'ai du mal à faire passer mon ressenti. Pas mal, des notations fort justes, mais trop subtil sans doute .
SupprimerTu n'es pas assez emballée pour que je me penche sur son cas...
RépondreSupprimerUn joli roman, un sujet original, hélas je n'ai pas su ressentir un gros enthousiasme...
Supprimerje passe sans regrets
RépondreSupprimerPeut être aurais-tu su l'aimer à fond?
Supprimerje comprends tes réactions aux commentaires , moi non plus je ne noterai pas ce livre et je sens que tu te dis "zut peut-être vaut-il mieux que ça "
RépondreSupprimerCela arrive souvent quand on n'a pas un avis tranché sur un livre.
Luocine
Hé oui, mais je ne suis pas inquiète, je sais que mes commentateurs ont une pile de livres à lire haute comme un gamin de 5 ans... Et puis peut être qu'un autre blog en parlera mieux!
SupprimerLa couverture m'avait attirée mais je ne sentais pas ce thème pour moi.
RépondreSupprimerLes couvertures de Philippe Rey sont à tomber par terre tellement elles sont belles!
SupprimerDu soleil ! En boîte ? Tout de suite, merci !
RépondreSupprimerIl va falloir patienter quelques jours je crois pour voir revenir cet astre...
SupprimerLe sujet ne m'attire pas des masses mais par contre la couverture énormément... Et quel titre : Du soleil en boite !! Rien que pour ça on a envie de se jeter sur ce livre ;0) Et en passant j'ADORE ta nouvelle déco :0)
RépondreSupprimerCet éditeur a changé sa présentation, et franchement, totale réussite! C'est beau (si, ça compte, la beauté extérieure des livres)
SupprimerLa déco, oui, je voulais du printemps, ce serait bien que j'arrive aussi à insérer une petite bannière...
Hmmm dommage, je serais bien partie en Nouvelle-Zélande en lecture, mais là, ça m'a pas l'air d'être dans des conditions particulièrement favorables (selon mes goûts^^). Bon, répit pour ma PAL.^^
RépondreSupprimerPeut être trop intimiste de doux pour que j'aie su faire passer mes impressions...
SupprimerNon alors décidément, toujours pas...un livre sur une veuve et sa belle-mère ce n'est pas du tout pour moi, je ne veux plus de huis-clos (même nouveau, même zélandais) pendant au moins 6 mois. Bon dimanche Keisha....
RépondreSupprimerCe n'est pas un huit-clos, tu as aussi les hommes et la fille.
SupprimerMais, coïncidence ou pas, j'ai lu en moins de deux semaines deux romans où l'héroïne a perdu son mari (dans un passé plus ou moins lointain)
Un thème qui ne m'attire pas.
RépondreSupprimerAlors pas la peine d'essayer je pense.
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