Calme-toi, Werther
Guy Marchand
Ginkgo éditeur, Neige, 2014
Pas besoin de présenter l'auteur, je l'espère, remarqué dans plein de domaines; mais j'ignorais son incursion dans l'écriture.
Un roman qui logiquement fera la part belle au milieu de la police et du cinéma, ainsi qu'à la nostalgie d'un amour perdu (je n'ai compris pourquoi qu'en fouinant ensuite sur internet)
Maurice Morrigane est un inspecteur de police atypique, sans voiture (vivent les transports en commun parisiens et la marche), lisant et relisant Les souffrances du jeune Werther, retrouvant de vieux amis au café, et menant sans stress une enquête.
"Maurice ne travaillait jamais à son bureau, il restait chez lui à dialoguer avec son chat, ou il se promenait dans Paris."
"Le quai des Orfèvres ne le trouvait pas toujours, tant sa façon d'enquêter non-conformiste et sa réputation de fumiste efficace lui laissaient beaucoup de liberté."
On l'aura compris, cette histoire policière est plus un prétexte à narrer une histoire douce-amère, à plonger dans une ambiance bien rendue de décontraction élégante et de nostalgie.
Guy Marchand
Ginkgo éditeur, Neige, 2014
Pas besoin de présenter l'auteur, je l'espère, remarqué dans plein de domaines; mais j'ignorais son incursion dans l'écriture.
Un roman qui logiquement fera la part belle au milieu de la police et du cinéma, ainsi qu'à la nostalgie d'un amour perdu (je n'ai compris pourquoi qu'en fouinant ensuite sur internet)
Maurice Morrigane est un inspecteur de police atypique, sans voiture (vivent les transports en commun parisiens et la marche), lisant et relisant Les souffrances du jeune Werther, retrouvant de vieux amis au café, et menant sans stress une enquête.
"Maurice ne travaillait jamais à son bureau, il restait chez lui à dialoguer avec son chat, ou il se promenait dans Paris."
"Le quai des Orfèvres ne le trouvait pas toujours, tant sa façon d'enquêter non-conformiste et sa réputation de fumiste efficace lui laissaient beaucoup de liberté."
On l'aura compris, cette histoire policière est plus un prétexte à narrer une histoire douce-amère, à plonger dans une ambiance bien rendue de décontraction élégante et de nostalgie.
Un portrait de Simonetta Vespucci par Sandro Boticelli (que j'aurais bien vu en couverture) |
Commentaires
Je suis moi-même un peu nostalgique ces derniers temps et je suis sensible aux atmosphères ( à propos j'ai L'Hôtel du Nord dans ma PAL ;-), j'ai aussi un Léo Malet avec l'adaptation BD de Tardi sous le coude.
Je note :-)
Bon, maintenant je cherche des écrivains devenus comédiens... ^_^
celui-là je zappe
Luocine