Drôle de karma!
Sophie Henrionnet
City, 2014
Bon, compte tenu du net ralentissement dans ma vie de lectrice et de blogueuse, j'avais dit "plus de SP" et "évitons le direct avec l'auteur". Bien évidemment j'ai donc dit oui à l'auteur quand elle m'a proposé son premier roman. Un coup d'oeil à son blog sixinthecity (oui, quatre enfants pour cette chirurgien-dentiste, dixit la quatrième de couverture, ça doit faire 6 à la maison?) a fait pencher la balance en sa faveur (mais cette expression doit dater de la Roberval, non?), sans parler d'une envie tenace de lecture plus légère.
Joséphine a trente ans, elle habite à Paris, est vendeuse- plus pour longtemps- dans un salon de parfumerie et quasi fiancée - unilatéralement va-t-elle le découvrir. Sa réaction quand elle réalisera la situation est fort jouissive, je ne dis que ça!
Donc une fille "moyenne" qui dès le début du roman accumule les mauvaises surprises; sa vie change lorsque décède sa voisine Astrid (la blonde parfaite à qui tout réussit, grrr).
Là voilà en Angleterre à donner des cours de français aux enfants d'un couple charmant, dans une de ces grandes demeures anglaises à vaste parc, avec petit personnel, sans oublier l'aïeule et les frères du propriétaire (oui, vous le sentez, il y aura de la romance...).
Soyons réalistes, je n'ai grillé aucun neurone au cours de ma lecture, et je ne m'y attendais pas, mais le cahier des charges est bien rempli : une héroïne sympathique et pétillante, une histoire qui se tient, de la romance (on a un cœur), de l'humour, un poil de mystère, des personnages secondaires bien campés, des dialogues vifs, pas de longueurs, que demande le peuple?
En prime, j'ai lu ce roman après un séjour à Londres et ai été ravie de me retrouver dans cette ville. Quand au Royal Scotsman, mais c'est le rêve! Prévoir tenues de soirées...
Ah oui, j'ajoute qu'il n'y a pas de scènes trop explicites, et pas de langage vulgaire. Ce qui gâte souvent le plaisir des romans de chick lit (surtout les anglo-saxons, est-ce un problème de traduction?)
Sophie Henrionnet
City, 2014
Bon, compte tenu du net ralentissement dans ma vie de lectrice et de blogueuse, j'avais dit "plus de SP" et "évitons le direct avec l'auteur". Bien évidemment j'ai donc dit oui à l'auteur quand elle m'a proposé son premier roman. Un coup d'oeil à son blog sixinthecity (oui, quatre enfants pour cette chirurgien-dentiste, dixit la quatrième de couverture, ça doit faire 6 à la maison?) a fait pencher la balance en sa faveur (mais cette expression doit dater de la Roberval, non?), sans parler d'une envie tenace de lecture plus légère.
Joséphine a trente ans, elle habite à Paris, est vendeuse- plus pour longtemps- dans un salon de parfumerie et quasi fiancée - unilatéralement va-t-elle le découvrir. Sa réaction quand elle réalisera la situation est fort jouissive, je ne dis que ça!
Donc une fille "moyenne" qui dès le début du roman accumule les mauvaises surprises; sa vie change lorsque décède sa voisine Astrid (la blonde parfaite à qui tout réussit, grrr).
Là voilà en Angleterre à donner des cours de français aux enfants d'un couple charmant, dans une de ces grandes demeures anglaises à vaste parc, avec petit personnel, sans oublier l'aïeule et les frères du propriétaire (oui, vous le sentez, il y aura de la romance...).
Soyons réalistes, je n'ai grillé aucun neurone au cours de ma lecture, et je ne m'y attendais pas, mais le cahier des charges est bien rempli : une héroïne sympathique et pétillante, une histoire qui se tient, de la romance (on a un cœur), de l'humour, un poil de mystère, des personnages secondaires bien campés, des dialogues vifs, pas de longueurs, que demande le peuple?
En prime, j'ai lu ce roman après un séjour à Londres et ai été ravie de me retrouver dans cette ville. Quand au Royal Scotsman, mais c'est le rêve! Prévoir tenues de soirées...
Ah oui, j'ajoute qu'il n'y a pas de scènes trop explicites, et pas de langage vulgaire. Ce qui gâte souvent le plaisir des romans de chick lit (surtout les anglo-saxons, est-ce un problème de traduction?)
Commentaires
Mais ce livre est papier, tu sais (moi non plus je ne lis pas sur écran...).
Quant au rythme de lecture, il faiblit actuellement (mais est conséquent par rapport à la moyenne nationale) et ce roman a dû me faire deux soirées en gros...
Il m'arrive aussi de relire des textes ayant enchanté ma jeunesse, comme on dit...
Tu es très sérieuse, tu résistes à ces romans légers (qui se lisent vite). Tant que mon rythme de lecture est dense, je peux insérer ces romans entre de la non fiction plus costaud...
Une chick lit de temps en temps, je ne boude pas.
J'ai acheté en bourse aux livres une tripotée de chick lit (50 centimes le bouquin état neuf, je ne résiste pas)
Oui, je sais que titre, couverture et souvent quatrième de couverture sont aux mains de l'éditeur. Heureusement la couverture est bien choisie.
Je crois que la source est Bridget Jones ? Je ne sais pas s'il faut en consommer sans modération, mais vous n'avez pas l'air d'en souffrir jusqu'ici... ;-)