Ceux qui tombent
The drop
Michael Connelly
Calmann-Lévy, 2014
Traduction de Robert Pépin
Chic, chic, enfin un opus de Connelly avec Henry Bosch à 100%! Et un bon, en plus!
Pour les amateurs, pas besoin d'en dire plus.
Pour les autres, une idée de l'intrigue :
Harry Bosch est près de la retraite, ne veut pas décrocher avant le délai légal et travaille en équipe avec David Chu à l'unité des affaires non résolues de Los Angeles. Un cold case datant de 1989 amènerait à penser qu'un gamin de huit ans est impliqué dans un viol plus meurtre d'une jeune fille, reste à savoir ce qui coince. Une goutte (drop) de sang du gamin est sur le corps de la victime.
Pour Bosch, tout le monde compte, tout le monde ou personne. Il va donc se lancer avec la même ténacité aux trousses d'un immonde prédateur sexuel et tenter de résoudre le mystère de la mort du fils d'un conseiller aux mains longues, de plus ex chef de la police (et de Bosch). George Irving est mort d'une chute (drop) du septième étage d'un hôtel...
Deux enquêtes difficiles pour diverses raisons, se plonger dans la tête d'un criminel détraqué et retors n'est pas de tout repos, non plus que marcher sur des oeufs dans des méandres politiciens... Mais Harry Bosch est un héros comme on les aime, avec sa rigueur, ses doutes, ses faiblesses. J'apprécie aussi la connaissance fine du fonctionnement de la police.
Ce roman peut se lire sans connaître les autres, Connelly n'est pas du genre à spoiler ses précédents écrits.
Les avis de cathe,
The drop
Michael Connelly
Calmann-Lévy, 2014
Traduction de Robert Pépin
Chic, chic, enfin un opus de Connelly avec Henry Bosch à 100%! Et un bon, en plus!
Pour les amateurs, pas besoin d'en dire plus.
Pour les autres, une idée de l'intrigue :
Harry Bosch est près de la retraite, ne veut pas décrocher avant le délai légal et travaille en équipe avec David Chu à l'unité des affaires non résolues de Los Angeles. Un cold case datant de 1989 amènerait à penser qu'un gamin de huit ans est impliqué dans un viol plus meurtre d'une jeune fille, reste à savoir ce qui coince. Une goutte (drop) de sang du gamin est sur le corps de la victime.
Pour Bosch, tout le monde compte, tout le monde ou personne. Il va donc se lancer avec la même ténacité aux trousses d'un immonde prédateur sexuel et tenter de résoudre le mystère de la mort du fils d'un conseiller aux mains longues, de plus ex chef de la police (et de Bosch). George Irving est mort d'une chute (drop) du septième étage d'un hôtel...
Deux enquêtes difficiles pour diverses raisons, se plonger dans la tête d'un criminel détraqué et retors n'est pas de tout repos, non plus que marcher sur des oeufs dans des méandres politiciens... Mais Harry Bosch est un héros comme on les aime, avec sa rigueur, ses doutes, ses faiblesses. J'apprécie aussi la connaissance fine du fonctionnement de la police.
Ce roman peut se lire sans connaître les autres, Connelly n'est pas du genre à spoiler ses précédents écrits.
Les avis de cathe,
Puisque tu dis qu'il peut se lire indépendamment des autres, je note celui-ci (rien lu encore de l'auteur malgré tous les billets de blog !)
RépondreSupprimerTu peux te lancer, j'aime bien ce personnage qui a évolué au cours du temps, sans perdre sa ténacité et son sens de la justice.
SupprimerJe l'ai lu en anglais il y a quelques mois, Connelly est un des auteurs que je lis volontiers en VO. (mais je n'ai pas écrit d'avis alors que j'avais beaucoup aimé le retrouver)
RépondreSupprimerJe les ai quasiment tous lus, j'aime moins la série avec l'avocat (même si c'est très bien fait) et là j'étais contente de retrouver Harry Bosch. Oui, ça se lit bien en VO, j'ai Echo Park.
SupprimerJe n'ai jamais lu l'auteur et donc ne connaît pas Bosch, même si j'aurais tendance à écrire, "C'est beau, c'est bien, c'est Bosch !"
RépondreSupprimerHum, tu es en forme, ce matin! ^_^
SupprimerDes slogans publicitaires, j'en ai à la pelle dans mon esprit dérangé...
SupprimerBosch me fait plutôt penser au peintre...
SupprimerNe t'inquiète pas pour les slogans, j'en ai aussi en magasin!
Je crois que tu as parfaitement résumé ma pensée : "chic, chic !".
RépondreSupprimerTu fais partie de ceux qui connaissent!!!
Supprimer"Le poète", c'est Connelly ? Auquel cas c'est le seul jamais lu de lui, mais tu me donnes envie de le (re?)découvrir !
RépondreSupprimerOui, c'est Connelly, un polar sans Bosch, d'ailleurs. Il a des personnages récurrents.
SupprimerC'est un des rares auteurs de policier que j'ai lu avant le monde des blogs, je lirai certainement celui-ci .
RépondreSupprimerJ'ai lu mon premier en 2001 ou 2002, je revois encore la bibliothèque... Ensuite je me suis jetée sur ceux que je trouvais.
Supprimerah ah ah celui là je l'ai lu et en anglais s'il vous plait, enfin dans une version pour lecteurs ayant besoin de soutien, j'ai bien aimé et j'ai eu plaisir à retrouvé Harry
RépondreSupprimerJe te félicite! Je vois que tu es modeste, tu as un bon niveau d'anglais!
SupprimerTu vois, finalement, pour lire en VO, rien de tel qu'un auteur aimé et un peu de suspense dans le texte.
Ravie que toi aussi tu aies aimé :-) J'espère que Connelly nous en fera encore quelques autres aussi bons que celui-là :-)
RépondreSupprimerBosch n'est pas encore à la retraite! Et verra-t-on une série avec la fille? ^_^
SupprimerPas du tout ma tasse de thé mais je comprends que ça puisse être addictif.
RépondreSupprimerCe n'est pas un polar avec détails gore ou poursuites en laissant de la gomme, c'est plus sensible et intelligent.
SupprimerUne valeur sûre ! J'en ai lu quelques uns : je continuerai certainement !
RépondreSupprimerMême les moins bons de la série demeurent bons... Je lui suis fidèle depuis des années.
SupprimerJe crois que j'ai du vaguement en lire un de cette série, mais alors quand ? Bref, pas un souvenir mémorable, mais en même temps je vieillis...
RépondreSupprimerBref, j'essaye d'y retourner (ton billet inclut d'enthousiastes chic chic chic, qui nécessitent de ma part une vérification sur pièce)
Tu as devant toi une fan depuis des années, et sache que Bosch, personnage récurrent, nous manquait depuis quelques volumes...
SupprimerMoi non plus, jamais lu. C'est Américain ou British ?
RépondreSupprimerC'es américain (très américain, dirais-je même) et se passe à Los Angeles (ville merveilleusement bien sentie)
SupprimerTu écris: ''Ce roman peut se lire sans connaître les autres, Connelly n'est pas du genre à spoiler ses précédents écrits.''
RépondreSupprimerÇa me plait bien car ça ne me disait rien de tout me taper la série des ''Bosh'' . Alors, je note
On est tout de suite dans l'histoire, avec les quelques éléments nécessaires (qui est le coéquipier, depuis quand, sa fille, etc)
SupprimerBon, moi je n'avais pas été convaincue par Le poète (c'est Connelly non ?), mais y avait pas Bosch aussi, peut-être pour ça.:-)
RépondreSupprimerLe poète m'avait terriblement plu, mais c'est sûr que depuis on a trouvé beaucoup d'histoires équivalentes de serial killer...
SupprimerBosch est un personnage récurrent à connaître, oui.
Un auteur que j'apprécie. Mais se plonger dans la tête d'un tueur, brrr.....
RépondreSupprimerC'est quand il découvre les photos et vidéos prises par le tueur qu'il a vraiment du mal. Le lecteur n'a pas vraiment de descriptions, mais les policiers morflent pas mal, eux sont obligés de visionner.
SupprimerJe l'ai lu aussi (en anglais) - mais j'avais lu des enquêtes menées par le détective privé Mickey Haller ... Bosch n'était jamais loin.
RépondreSupprimerJe te rejoins, les enquêtes ne sont pas juste des course poursuite, c'est toujours plus fin et plus psychologique. Je vais voir si je peux en dénicher....
Pauvre Océane, moi je la bassine avec la série sur Erlendur d'Indridason...
Mickey Haller est arrivé récemment, ses enquêtes sont bien faites, mais sans Bosch, ou alors à l'arrière plan (ils seraient demi-frères). Avec Connelly c'est toujours fouillé et ce ne sont pas des machines, mais des êtres humains, faillibles. Bosch a une éthique, ce qui lui a valu des ennuis.
SupprimerAh Erlendur, bien aussi!
Oui, j'ai adoré un des romans, the fifth witness. Bon ma PàL déborde littéralement, mais il va falloir un jour que je me lance dans la série des Bosch ;-)
SupprimerJe l'ai lu aussi, c'est un des derniers (d'ailleurs je n'ai rien compris au titre...), et pas mal fait du tout. Mais sans Bosch. ^_^
SupprimerBen présenté comme ça, un bon Bosch, on a qu'une envie, foncer chez le libraire ;-) Il est vrai que j'ai un peu abandonné cette série. Après avoir dévoré les premiers, j'ai trouvé que cela tournait un peu au "plan-plan" mais il semblerait qu'il arrive ici à se renouveler ?
RépondreSupprimerJ'en ai lu une palanquée, tous sauf deux ou trois je pense. Bosch revient, oui, toujours teigneux mais sensible, comme on aime, quoi, et là sa fille de 14 ans semble vouloir suivre ses traces...
SupprimerUn bon Bosch? Je prends! De temps en temps, je relis les anciens, en VO et c'est toujours aussi bien...
RépondreSupprimerSon dernier! (en français, en tout cas). Je ne possède plus qu'Echo Park (vendu les poches en bourses aux livres), ça se lit bien en VO. D'ailleurs j'y pense, j'ai un retard en Craig Johnson...
SupprimerJe ne crois pas avoir déjà lu un Connelly, en voici une belle occasion, je note ce titre !
RépondreSupprimerAvec Connelly, on peut y aller confortablement pour la qualité, même si risques d'être un peu bousculé. Un bon classique, maintenant.
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