La bibliothèque des coeurs cabossés
Läsarna i Broken Wheel rekommenderar
Katarina Bivald
Denoël, janvier 2015
Traduit par Carine Bruy
"Ce que Sara recherchait au fond, c'étaient ces livres qu'on peut lire comme un roman-feuilleton en sirotant un verre de vin le vendredi soir, ou un Coca citron glaçons et un bol de chips un dimanche désœuvré. L'équivalent en livre d'un film avec Meg Ryan. Des histoires légères et sympathiques avec fin heureuse garantie afin de laisser le cerveau en repos. Des romans où l'héroïne était toujours amusante et le héros mignon, ou l'inverse s'il s'agissait d'un texte écrit par un auteur masculin, et évidemment adapté avec John Cusak dans le rôle principal."
Après un échange épistolaire de deux ans avec Amis Harris, gentille dame habitant Broken Wheel, au fin fond de l'Iowa, Sara Lindquist, plus intéressée à lire qu'à vivre (et ex employée de librairie) se décide à quitter la Suède pour rendre une visite de quelques semaines à son amie. Las! (A Girl, je l'ai fait exprès) quand elle arrive à Broken Wheel, Amy vient de décéder. Broken Wheel se révèle vraiment un coin paumé, où vivotent les quelques rares boutiques encore ouvertes, le tout noyé ou presque dans un océan de champs de maïs. Une petite ville où s'échangent plus de services que d'argent, où elle commence à s'intégrer, surtout quand elle ouvre une librairie avec les milliers de livres que possédait Amy.
Je n'ai pas besoin de raconter les premiers moments de cette librairie et de ses rangements étonnants, de signaler que la ville regorge de personnages originaux et bien évidemment que tout se termine dans l'amour et la fantaisie. Je me demande juste pourquoi il fallait une librairie, pourquoi pas une bibliothèque?
Oui, un roman feelgood, et alors? Dès le départ je le savais, tout comme serait imparable une héroïne lectrice "jamais sans mon livre" et libraire. Bien sympathique, avec un brin de fantaisie, justement comme les livres que recherchait Sara dans la citation de début.
Merci à Célia G. et à l'éditeur.
Läsarna i Broken Wheel rekommenderar
Katarina Bivald
Denoël, janvier 2015
Traduit par Carine Bruy
"Ce que Sara recherchait au fond, c'étaient ces livres qu'on peut lire comme un roman-feuilleton en sirotant un verre de vin le vendredi soir, ou un Coca citron glaçons et un bol de chips un dimanche désœuvré. L'équivalent en livre d'un film avec Meg Ryan. Des histoires légères et sympathiques avec fin heureuse garantie afin de laisser le cerveau en repos. Des romans où l'héroïne était toujours amusante et le héros mignon, ou l'inverse s'il s'agissait d'un texte écrit par un auteur masculin, et évidemment adapté avec John Cusak dans le rôle principal."
Après un échange épistolaire de deux ans avec Amis Harris, gentille dame habitant Broken Wheel, au fin fond de l'Iowa, Sara Lindquist, plus intéressée à lire qu'à vivre (et ex employée de librairie) se décide à quitter la Suède pour rendre une visite de quelques semaines à son amie. Las! (A Girl, je l'ai fait exprès) quand elle arrive à Broken Wheel, Amy vient de décéder. Broken Wheel se révèle vraiment un coin paumé, où vivotent les quelques rares boutiques encore ouvertes, le tout noyé ou presque dans un océan de champs de maïs. Une petite ville où s'échangent plus de services que d'argent, où elle commence à s'intégrer, surtout quand elle ouvre une librairie avec les milliers de livres que possédait Amy.
Je n'ai pas besoin de raconter les premiers moments de cette librairie et de ses rangements étonnants, de signaler que la ville regorge de personnages originaux et bien évidemment que tout se termine dans l'amour et la fantaisie. Je me demande juste pourquoi il fallait une librairie, pourquoi pas une bibliothèque?
Oui, un roman feelgood, et alors? Dès le départ je le savais, tout comme serait imparable une héroïne lectrice "jamais sans mon livre" et libraire. Bien sympathique, avec un brin de fantaisie, justement comme les livres que recherchait Sara dans la citation de début.
Les gens (...) pouvaient ne vous porter aucune attention, mais à la seconde où vous sortiez un livre, vous étiez considéré comme impoli.
Les livres sont fantastiques et prennent sans doute toute leur valeur dans un chalet au fond de la forêt, mais quel plaisir y a-t-il à lire un livre merveilleux, si on ne peut pas le signaler à d'autres personnes, en parler et le citer à tout bout de champ?
Merci à Célia G. et à l'éditeur.
Commentaires
Dans le titre suédois, pas de 'coeur'. (j'ai vérifié) Mais tu as raison de te méfier des romans avec coeur dans le titre!
Le club des amateurs avait un arrière plan historique plus grave!
Plus, des livres, pas de vrais méchants, voilà une recette qui fonctionne!
Hé oui, partager... ^_^
Las (dixit mon bouclier ^^)...
Bisous et bonne semaine
Mon avis complet ici http://mademoiselleestcommetoutlemonde.blogspot.com/2015/10/livre-la-bibliotheque-des-curs-cabosses.html