Oyana
Eric Plamondon
Quidam, 2019
Quels rapports entre les Basques et les Québecois? (vous avez quatre heures)
Eléments de réponse : les baleines (chasseurs basques partis vers Terre Neuve et baleines au Saint Laurent) et la lutte pour l'indépendance (et la langue?). Et Oyana, mais là c'est le roman.
Depuis plus de 20 ans Oyana vit au Québec, partageant la vie de Xavier. Elle s'apprête à partir pour la France, retrouver le pays basque qu’elle a quitté dans des circonstances dramatiques. Le déclencheur? L'annonce le 3 mai 2018 que l'ETA a décidé de se dissoudre, 'la lutte est terminée', 'les armes et la violence ne sont plus une solution.'
Oyana se remémore sa vie, celle des ses parents, de son pays. Comme pour Taqawan, Eric Plamondon use d'un récit éclaté, nerveux, efficace. Du suspense, des retournements, des révélations, assez pour maintenir l'intérêt. Une héroïne écorchée, dans la douleur.
Merci à l'éditeur et à sa confiance. Toujours de superbes couvertures de Hugues Vollant.
Les avis de mots pour mots,
Eric Plamondon
Quidam, 2019
Quels rapports entre les Basques et les Québecois? (vous avez quatre heures)
Eléments de réponse : les baleines (chasseurs basques partis vers Terre Neuve et baleines au Saint Laurent) et la lutte pour l'indépendance (et la langue?). Et Oyana, mais là c'est le roman.
Depuis plus de 20 ans Oyana vit au Québec, partageant la vie de Xavier. Elle s'apprête à partir pour la France, retrouver le pays basque qu’elle a quitté dans des circonstances dramatiques. Le déclencheur? L'annonce le 3 mai 2018 que l'ETA a décidé de se dissoudre, 'la lutte est terminée', 'les armes et la violence ne sont plus une solution.'
Oyana se remémore sa vie, celle des ses parents, de son pays. Comme pour Taqawan, Eric Plamondon use d'un récit éclaté, nerveux, efficace. Du suspense, des retournements, des révélations, assez pour maintenir l'intérêt. Une héroïne écorchée, dans la douleur.
Merci à l'éditeur et à sa confiance. Toujours de superbes couvertures de Hugues Vollant.
Les avis de mots pour mots,
Il faut déjà que je lise le précédent.
RépondreSupprimerCe serait bien, oui. ^_^
SupprimerEt à Trois Rivières (sur le bord du Saint-Laurent) y a un musée des Basques, un truc de pelote basque, des machins de fromage basque et tout le toutim ! (j'ai résolu l'énigme en 30 secondes).
RépondreSupprimerMerci et bravo! Je ne suis jamais allée là-bas, ni au pays basque d'ailleurs, je pars de très bas.^_^
SupprimerJe l'avais noté, je ne sais plus chez qui, et bien sûr totalement oublié...tu me le rappelles d'un billet diablement efficace ;)
RépondreSupprimerC'est ça les blogs, je suis victime du même phénomène aussi.
SupprimerTaqawan m'attend toujours par contre Pays basque et ETA ce n'est pas ma tasse de thé
RépondreSupprimerConcentre toi su Taqawan (perso je n'ai pas de prédilection pour l'ETA non plus)
SupprimerC'est surprenant cet orthographe. Normalement, en basque, ça s'écrit Oihana. En tous cas, c'est un livre qui a tout pour m'intéresser.
RépondreSupprimerExact, j'ai vérifié, cela correspond au prénom que tu connais bien, et qui n'était pas vraiment donné quand Oyana de l'histoire est née.
SupprimerJ'ai déjà rencontré des Basques dans le Wyoming (grâce à notre cher Craig Johnson et son adjoint dont le nom m'échappe...) mais j'ignorais qu'il s'en trouvait au Québec aussi. Je n'avais pas été débordante d'enthousiasme pour Taqawan, (pas déçue non plus) mais je lirai bien de nouveau l'auteur tout de même.
RépondreSupprimerOui, le basque collègue de Walt Longmire. Pour le Québec, si, il y a un lien, voir le commentaire de Nathalie.
SupprimerJ'ai lu deux critiques positives la semaine dernière sur ce livre et je l'ai noté car je ne connais pas l'auteur...La couverture est magnifique !
RépondreSupprimerAh je n'ai vu qu'un seul billet! Tu pourrais aussi lire Taqawan (existe en poche). Les couvertures chez cet éditeur sont remarquables en effet.
SupprimerJe suis d'accord, la couverture de ce roman-là est tentante. Mais si l'on est dans la même veine que Taqawan, je vais passer mon tour : malgré l'engouement que le roman avait suscité (ou peut-être "à cause" ?), j'avais été extrêmement déçue par sa lecture...
RépondreSupprimerHeu alors je n'insiste pas trop.
SupprimerLe voilà donc, ce billet, sur la même longueur d'ondes :-)
RépondreSupprimerJe n'ai rien changé, alors tu peux comparer. ^_^
SupprimerJ'avais beaucoup aimé Taqawan, très fort. Celui-ci a l'air tout aussi bien.
RépondreSupprimerIls se ressemblent, mais le thème a changé.
Supprimerun billet un peu bref, trop pour moi, même si j'ai une forte tendance à te faire confiance quand tu es enthousiaste. L'es-tu? ou juste un peu moins que le précédent que je n'ai pas lu non plus!
RépondreSupprimerUn peu moins que le précédent, 1 ) je l'ai lu trop vite et pas à un bon moment 2 ) j'ai plus de mal avec l'ETA.
SupprimerL'auteur va venir chez TuliTu en mai, j'espère que je pourrai le rencontrer, je sens que ce sera chouette.
RépondreSupprimerTu as de la chance! Il pourra expliquer comment il choisit ses thèmes?
SupprimerLa couverture est en effet magnifique. Je n'ai pas encore lu Taqawan, mais sa sortie récente en poche est l'occasion d'une séance de rattrapage. Nul doute que je lirai ensuite celui-là, dont le synopsis est très alléchant..
RépondreSupprimerOui, le poche est arrivé, c'est une belle occasion.
Supprimeramusant je viens de lire l'avis mitigé de nyctalopes - qui lui reproche son aspect trop didactique (un gros bémol chez moi) je ne suis pas tentée ce coup-ci (j'avais bien aimé Taqawan sauf la fin trop film américain)
RépondreSupprimerJ'avoue que l'ETA ne m'a pas emballée, moins que les baleines en fait.
SupprimerJe vais voir chez Nyctalopes.Merci.
J'aime beaucoup la couverture et ton introduction.^^ Je me souviens avoir vu pas mal de billets enthousiastes sur le précédent de l'auteur. Pour l'instant je résiste, PAL oblige.
RépondreSupprimerTaqawan est court, tu sais.
SupprimerJe viens d'acquérir Taqawan en poche !
RépondreSupprimerBonne pioche!
SupprimerJ'ai lu récemment sur ce sujet (le Pays Basque et l'ETA), un livre qui m'avait bien plu ("Patria"). Dans ce livre, c'est donc une autre façon d'aborder cette terrible histoire. Question baleine, je viens de lire dans le journal qu'un plongeur avait été avalé et recraché quelques minutes après par une baleine. Un nouveau Jonas en somme...
RépondreSupprimerJ'imagine les sensations à la fois de la baleine (beurk) et du plongeur... ^_^
SupprimerJ'avais lu un avis mitigé sur Taqawan, chez Lili je crois, alors... cela dit je serais tentée par le pays basque (terre natale de mon mari)
RépondreSupprimerA toi de voir!!!
SupprimerLe précédent est sur ma lal et le sujet me tente plus. En plus j'apprends en lisant tes commentaires qu'il va sortir en poche ; bonne nouvelle ^_~. Bisous Keisha
RépondreSupprimerVoilà, tu peux en profiter.
SupprimerPourquoi pas... mais je crois que je vais plutôt commencer par son précédent roman.
RépondreSupprimerExiste en poche, ça tombe bien.
SupprimerJe connais plus Luc Plamondon qu'Eric ! y-a-t-il un lien familial. Ok, je sors avec mon comm à la con !
RépondreSupprimerAu début (mais j'ai vérifié) je pensais que ça pouvait être le même.
SupprimerJe viens de le lire, mitigée. Pas accroché à Oyana. je ne sais pas trop pourquoi. j'avais pourtant adoré Taqawan.
RépondreSupprimerJ'avoue que l'ETA ne m'a pas passionnée... Je préfère Taqawan.
Supprimer