Ma soeur, serial killeuse
My sister, the serial killer
Oyinkan Braithwaite
Delcourt, 2019
Traduit par Christine Barbaste
Un titre pareil, sur le présentoir à la bibli, comment résister, surtout que, cerise sur le gâteau, il s'agit d'un roman nigérian, qui se déroule dans un Lagos moderne et vraisemblable.
Ce qui l'est moins, ce sont ces crimes en série, mais on s'en moque complètement, on tourne les pages, on s'amuse fort, l'humour est bien noir. Des retours en arrière donnent une vision glaçante d'une explication, avec un père de famille détestable et détesté.
Serial killer, paraît-il, ça commence à trois assassinats, alors d'entrée de jeu, la belle Ayoola appartient au club. Comme d'habitude, elle appelle sa grande soeur Korede à la rescousse, pour la débarrasser du cadavre de son petit ami, Femi, cette fois.
Korede est une infirmière compétente, un poil amoureuse du beau médecin Tade, pas très jolie, et depuis toujours protège sa petite soeur, une beauté somptueuse attirant tous les regards masculins.
Un jour Tade rencontre Ayoola, bien sûr Korede devine la possible fin fatale de cette idylle, mais que faire, pas question de dénoncer sa soeur. Suite à découvrir!!! Ainsi que l'ambiance dans l'hôpital où travaille Ayeeba, la mère des deux jeunes femmes et sa préférence pour la cadette, le lien particulier entre elles.
Une lecture que je recommande chaudement, ça décape, ça dépayse! Jubilatoire.
Le début
"Ayoola m'appelle et prononce ces mots que j'avais espéré ne jamais plus entendre: Korede, je l'ai tué."
On tourne la page :
"Je parie que vous ne le saviez pas: l'eau de Javel masque l'odeur du sang."
Les avis de Karine:), Electra,
My sister, the serial killer
Oyinkan Braithwaite
Delcourt, 2019
Traduit par Christine Barbaste
Un titre pareil, sur le présentoir à la bibli, comment résister, surtout que, cerise sur le gâteau, il s'agit d'un roman nigérian, qui se déroule dans un Lagos moderne et vraisemblable.
Ce qui l'est moins, ce sont ces crimes en série, mais on s'en moque complètement, on tourne les pages, on s'amuse fort, l'humour est bien noir. Des retours en arrière donnent une vision glaçante d'une explication, avec un père de famille détestable et détesté.
Serial killer, paraît-il, ça commence à trois assassinats, alors d'entrée de jeu, la belle Ayoola appartient au club. Comme d'habitude, elle appelle sa grande soeur Korede à la rescousse, pour la débarrasser du cadavre de son petit ami, Femi, cette fois.
Korede est une infirmière compétente, un poil amoureuse du beau médecin Tade, pas très jolie, et depuis toujours protège sa petite soeur, une beauté somptueuse attirant tous les regards masculins.
Un jour Tade rencontre Ayoola, bien sûr Korede devine la possible fin fatale de cette idylle, mais que faire, pas question de dénoncer sa soeur. Suite à découvrir!!! Ainsi que l'ambiance dans l'hôpital où travaille Ayeeba, la mère des deux jeunes femmes et sa préférence pour la cadette, le lien particulier entre elles.
Une lecture que je recommande chaudement, ça décape, ça dépayse! Jubilatoire.
Le début
"Ayoola m'appelle et prononce ces mots que j'avais espéré ne jamais plus entendre: Korede, je l'ai tué."
On tourne la page :
"Je parie que vous ne le saviez pas: l'eau de Javel masque l'odeur du sang."
Les avis de Karine:), Electra,
Oh bah ça a l'air original ça ! Ça serait pas mal de le croiser.
RépondreSupprimerVraiment plaisant, en effet.
Supprimerquoi quoi quoi mais tu es infréquentable !!!
RépondreSupprimerTsst! Voyons.
SupprimerJe l'ai lu il y a quelques jours et suis moins enthousiaste que toi... c'est un peu plat, malgré les meurtres perpétrés par Ayoola, non ?
RépondreSupprimerOn ne le lit pas pour l'écriture, c'est sûr, mais c'est efficace!
SupprimerVoilà qui me tente beaucoup, ça a l'air super !
RépondreSupprimerNe pas refuser l'occasion de se détendre...
SupprimerDans tous les thrillers que j'ai lus, je pense que je n'ai jamais rencontré de femmes tueuses en série ! Toujours des hommes ! Après tout, pourquoi?
RépondreSupprimerBonne fin de semaine.
C'est ça le côté original, et puis ça se passe au Nigeria, pays moins connu.
SupprimerÇa me dit bien en effet, ça me fait penser aux films de Nollywood.
RépondreSupprimerHa oui, ça pourrait donner un film?
SupprimerJe le note car ton enthousiasme est communicatif :) bonne journée
RépondreSupprimerBonne journée à toi aussi.
SupprimerSi tu l'aperçois en bibli...
Une lecture de vacances, en somme.. pourquoi pas ?
RépondreSupprimerCourtes vacances, alors, cela se lit quasiment d'un trait.
SupprimerBeaucoup d'a priori défavorables de ma part pour ce genre de lectures. Mais la blogosphère se charge souvent de bousculer mes a priori.
RépondreSupprimerLes serial killer ne sont pas ma tasse de thé non plus, mais là, c'est différent!
SupprimerEffectivement, un tel titre ne peut qu'attirer l'oeil. Et tout ce que tu en dis fait regretter la canicule pour ne pas pouvoir courir à la librairie ou la bib la plus proche ! Bref, je note !
RépondreSupprimerDu calme! Ne risque pas ta santé. Mais après, oui, si tu le vois en bibli...
SupprimerAh j'aurais pas dit qu'on rigolait avec ce titre mais à te lire, ça a l'air bien ma came ce truc-là !
RépondreSupprimerComplètement ta came, la hyène pourrait d'ailleurs reprendre un peu du service, je me demande.
SupprimerLa couverture et le titre ne m'attirent pas du tout... mais ton enthousiasme, si!
RépondreSupprimerDaphné
C'est sûr que ça change des thrillers gore.
SupprimerBonjour Keisha, ton enthousiasme communicatif donne envie de découvrir ce roman. Et puis c'est l'occasion de découvrir un roman nigérian. Je le note. Bonne journée.
RépondreSupprimerOui, on n'a pas tant que cela de littérature de ce pays à notre portée de main.
SupprimerComme Daphné ! Et puis pour la découverte d'un roman nigérian...
RépondreSupprimerC'est aussi ce qui m'a attirée, entre autres.
SupprimerCa me tente. Tu as bien fait d'en parler avec une couverture pareille, pas sûre que je me serais laissée tenter. Un auteur nigérian ? Je ne pense pas en avoir lu. Ce sera l'occasion.
RépondreSupprimerVoilà c'est l'occasion!
SupprimerTrès mauvaise habitude en effet et l'on comprend les craintes de la grande soeur ...
RépondreSupprimerC'est bien ficelé, oui.
SupprimerDeuxième billet élogieux sur ce roman, je note !!
RépondreSupprimerUne plaisante lecture!
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