Une fille, qui danse
Une fille, qui danse The sense of an ending Julian Barnes Mercure de France, 2012 Traduit par Jean-Pierre Aoustin Sur la foi de billets élogieux et le souvenir positif de mes lectures précédentes de Barnes, en ne lisant pas la quatrième de couverture , je me suis plongée dans ce roman, qui a tenu ses promesses et au-delà, me laissant à la dernière page plutôt assommée par les dernières révélations, toute frémissante et méditant des passages antérieurs. Années 60, Angleterre, un quatuor d'étudiants, dont Tony, le narrateur et Adrian, si intelligent et différent des autres. Tony est amoureux de Veronica, mais ils se sont éloignés, et elle en fréquente un autre. Comme j'ai envie que vous ayez la même belle expérience, je n'ai guère envie d'en dire plus sur ce roman empreint de mélancolie et cependant d'humour, bourré d'introspection et de réflexion, ainsi qu'extrêmement brillant et bien écrit. Juste parler d'une fine appréciation de la mémoi